Le retour d'Hélène et le garçon (2)
Datte: 08/08/2018,
Catégories:
Inceste / Tabou
... tout entendu ? » « Oui ! Et j’ai compris que tu avais parlé et tout dis pour nous deux ! Moi, je n’ai rien dit à personne ! » Il a raison et je suis un peu honteuse. Pour me faire pardonner, je reste tête baissée en approchant mes mains pour enserrer ses testicules. Je frotte ma joue sur son sexe tendu à travers le short. Mes pouces sont sur son périnée que je flatte par de petites pressions. Il apprécie beaucoup et je me décide à m’attarder sur cette zone d’une main, alors que de l’autre, je dégage son gland pour le sucer. Humm ! Comme j’aime l’avoir en bouche ! Il ne parle plus, mais se tortille pour que ma main glisse plus bas, vers son anus ! Je glisse mes doigts pour le masser à cet endroit et je l’entends gémir. Ma cousine m’avait dit que les mecs aimaient ça, mais je ne l’avais jamais pratiqué avec mon mari. Ses habits sont gênants, aussi j’entreprends de les lui ôter. Je veux reprendre ma manœuvre, mais il se positionne sur le dos, genoux sur le torse, et j’ai une vue imprenable sur son fessier. Je sais ce qu’il veut, mais je trouve ça dégoûtant, j’hésite. Il me tire les cheveux et me colle à lui en disant : « Lèche ! Salope ! » Ouah ! Comme il a changé mon fiston. Il traite sa mère de salope, mais c’est moi qui le lui avais demandé de le faire il y a quelques jours. Là, c’est de sa propre initiative, il doit vraiment m’en vouloir ! Mais tout compte fait, ça ne me déplait pas d’être dominée. Je me décide à franchir le pas et de glisser ...
... ma langue sur son petit trou. Sa réaction est sans équivoque. Il aime. Je m’applique donc à faire de mon mieux, puis d’y trouver du plaisir. J’oublie le goût musqué et darde son orifice pour y entrer. Il s’écarte lui-même les fesses pour m’encourager à aller plus profondément. C’est alors que je décide d’essayer autre chose, en mouillant un doigt pour le lui enfoncer. Il est surpris, mais me laisse faire. Je m’y reprends à quatre fois pour que mon majeur soit enfoncé totalement. Il apprécie quand je tourne en lui, mais quand je commence un va et vient il me repousse la main. Il se lève, me positionne à quatre pattes se place derrière moi et m’embroche d’un coup ! Sauvagement ! Je ne m’attendais pas à ça. Il butte sur mon utérus et je crie de douleur, mais il n’en à cure. Il y va fort à chaque coup, j’essaie de le repousser mais il me claque la fesse plusieurs fois. Même si je pleure de douleur, j’avoue apprécier son débordement de virilité. Mon vagin est en feu et lui est prêt à éclater, je le sens. Il se dégage brusquement, me tire par les cheveux pour me mettre accroupie et en se branlant avec frénésie, il m’asperge le visage de sa semence. J’en reçois partout. Dans les cheveux, les yeux, le nez et, quant à la bouche, je m’empresse de l’avaler. Je reste ainsi prostrée, tête basse, pendant de longues minutes en me disant que, décidément, nous sommes métamorphosés l’un et l’autre. Le timide est devenu presque macho et la bourgeoise presque maso.