Un sacré dépucelage (5)
Datte: 08/08/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
... !). Mon frère jetait un œil et vérifiait régulièrement que sa petite sœur se faisait pilonner comme une chienne. Arrivés chez le paysan, nous rentrons dans sa maison : un sacré bazar régnait. C’était sûr, il n’y avait pas eu de femme dans cette maison depuis bien longtemps. Mon frère et moi lui demandons s’il peut nous raccompagner rapidement chez nos parents. Et là, surprise : il nous propose de rester dormir cette nuit chez lui car la nuit ne va pas tarder à tomber. Nous lui disons que c’est impossible car nos parents nous attendent. Il nous répond qu’à ce moment-là, nous pouvions partir mais qu’il ne nous raccompagnerait pas. Pris au piège, nous avons décidé d’appeler nos parents au téléphone (petit rappel : il y a plus de 35 ans, il n’y avait pas de portable) en disant que nous étions chez des amis et que ses parents ne pouvaient pas nous raccompagner tous ce soir chez nous et qu’ils se proposaient de nous garder dormir et nous raccompagner demain. Après quelques hésitations et quelques questions auxquelles nous nous étions préparés, nos parents acceptent mais nous font promettre de rentrer demain dans la journée. Bien entendu, nous promettons. Voilà. C’était chose faite. Notre hébergeur pouvait se vanter d’avoir réussi son coup. Après avoir diné avec ce qu’il avait (en fait, pas grand-chose !), nous devions aller dormir « pour être en forme le lendemain ». Mais il avait une idée derrière la tête : « il n’y a qu’un seul lit » nous dit-il ! « Il faudra faire avec ». Alors ...
... nous nous sommes allongés à 3 dans le même plumard. J’ai renoncé à me laver ce soir car je sais que je vais encore déguster. De plus, la salle de bain est dans un état assez pitoyable et crasseux. Je suis au milieu avec mon frère à ma droite et le paysan à gauche. Comme je n’ai pas de pyjama, je dors nue, comme mon frère. Jean, le paysan, nous dit qu’il va faire comme nous pour que nous ne nous sentions pas seuls dans ce cas. De toutes les façons, nous avons déjà vu sa queue donc le reste importe peu. A peine dans le lit, je sens que des mains rugueuses cherchent ma chatte. J’écarte les cuisses car je suis encore bouillante de désir. Jean s’en rend compte : il me susurre à l’oreille que je « mouille comme une salope » et qu’un coup de bite me ferait surement du bien. Ma chatte n’arrête pas de déguster. Je lui propose alors de s’occuper plutôt de ma petite rondelle qui est en manque. Ce qui ne manque pas d’attirer sa queue vers mon cul. Je me tourne sur le côté pour lui présenter mon cul. Il place sa bite juste à l’entrée et frotte son gland à ma raie en insistant de temps à autres sur mon petit trou, en débordant parfois sur mes grandes lèvres. Elles sont tellement mouillées que son sexe, bandé à mort, rentre malencontreusement dans ma chatte. Un petit cri sort de ma bouche, ce qui ne manque pas d’attirer l’attention de mon frère. Il devait bien se douter de quelque chose, mais maintenant, il n’a plus de doute : je me fais mettre en beauté, comme une chienne avec mon frère à ...