Bonus Malus (6)
Datte: 08/08/2018,
Catégories:
Trash,
... coulait le long de mon ventre en direction de mon sexe. Encore sous le coup de mon orgasme, j’étais subjuguée par cette éjaculation et observait le liquide venir ruisseler entre mes lèvres sans que cela ne me choque. Mais Henry déjà était rhabillé et il me tira de mes rêveries en me donnant des mouchoirs pour que je me nettoie. J’ai donc effacé toute trace de cette première vraie infidélité et je suis rhabillée rapidement pour enfin laisser sortir mon comptable. — Qu’avez-vous ressenti en vous remettant au travail après cette incroyable expérience ? — Au début, de la honte. J’étais devenue une femme infidèle pour faire plus facilement mon travail et pour conserver mes chances de monter en grade. J’étais une salope. Mais j’ai aussitôt essayé de me déculpabiliser en me disant que je n’avais jamais ressenti une telle excitation avec mon mari et que celui-ci, finalement, me délaissait depuis des années, ce dont je ne m’étais pas vraiment rendue compte. Je me suis aussi dit que ce petit jeu n’allait pas durer éternellement car j’épongeais les bonus rapidement et que ce genre de demandes allaient vite se calmer. — Mais c’était un mauvais calcul, n’est-ce pas ? — Exact ! Vu que le système d’exo-tablettes est automatisé, le bonus se crédite de lui-même lorsque l’employé se comporte bien au travail. C’est le principe du SECE (service d’évaluation des comportements en entreprise, ndlr). Et comme la comcom à de nombreuses compétences, avec de multiples services et énormément ...
... d’agents, il y a avait toujours quelqu’un pour avoir du bonus à me demander. Dans les faits, l’objectif de Macron était rempli : les agents bossaient plus, prenaient des initiatives, n’étaient jamais en retard. La qualité du service public de notre collectivité n’a jamais été aussi bonne. Sauf qu’en coulisses, c’est moi qui épongeais les dettes de bonus avec mon corps… — Si vous le voulez bien, et avant de nous raconter la suite des événements, je voudrais revenir sur quelque chose que vous avez dit plus tôt. Vous avez dit que les demandes étaient au début « individuelles » et qu’on vous « invitait » à porter des bas sexy. Dois-je comprendre que certaines demandes étaient collectives ? — Tout à fait. Dans les premières semaines de cet arrangement, j’ai eu toute sorte de demande par mes agents, plus ou moins « chaudes », dont celle que je viens de vous raconter en détail. Mais j’avais aussi des demandes de groupes, notamment quand des agents n’avaient que peu de points bonus chacun. — Du coup, ils venaient à plusieurs dans votre bureau et vous demandaient de vous déshabiller devant un groupe ? — Pas de tout, j’étais devenue de femme facile mais pas débile ! Non, pour demander ce genre de cadeau, il fallait avoir les points suffisants et c’est tout. Ils me demandaient plutôt des choses plus soft, plus discrètes mais dont l’intérêt était d’être faite en groupe, profitant à tout le monde. — Par exemple ? — Et bien la première fois qu’on m’a fait ce genre de demande, c’était les gars de ...