1. Moi, quand je suis avec ma copine


    Datte: 09/08/2018, Catégories: fh, couple, amour, volupté, Oral pénétratio,

    Moi, quand je suis avec ma copine, c’est bien. On ne fait pas de choses compliquées. J’ai vu des pornos. Je ne comprends pas pourquoi ils font ainsi de la gymnastique, des mouvements saccadés, sans aucune nuance, sans aucun sentiment. Moi, quand je suis avec ma copine, on s’embrasse. Elle aime beaucoup quand je l’embrasse dans le cou. Elle rit. Et elle me serre très fort. Moi, quand je suis avec ma copine, j’adore le moment où on se glisse entre les draps frais. Je me couche le premier. Je sens le drap, un peu rêche, froid. Je sens mon humidité résiduelle, je me suis séché trop vite, et puis il y a comme un transfert d’humidité et de chaleur entre le drap et moi, pour aboutir à une sensation : douillet. J’attends. Alors, ma copine sort de la salle de bains. Je l’admire. J’admire ses mouvements, son corps, à contre-jour, la lumière lui satine la peau et trace son contour, même le petit espace entre les jambes, quand elle se tient comme ça. Elle est belle. Elle est pas comme sur les magazines, et pourtant, elle sa beauté à elle, elle en rayonne. Ses gestes sont un peu gauches, car elle sait que je la regarde, ça l’intimide, c’est fou. Et puis elle me rejoint, et on reste sans bouger. On sent la chaleur qui diffuse de nos corps, on sent nos souffles qui passent à l’unisson. C’est étrange, quand on y pense, ce calme, comme si on allait s’endormir. Dans ce calme, nos corps se comprennent, et alors, on se serre juste un petit peu plus, et on sent l’excitation monter, doucement. La ...
    ... sienne, la mienne en réponse, à moins que ce ne soit l’inverse. On pourrait plonger vers le sommeil, mais nos corps se causent et allument lentement leurs feux intérieurs. Moi, quand je suis avec ma copine, je pense parfois avec tristesse à la guerre, aux conflits, à mes parents qui s’engueulaient toujours : pourquoi n’est-on pas capable de vivre dans la paix, puisque c’est si bon ? Puisqu’on a cette capacité naturelle à se comprendre, à être parfaitement calme, en harmonie, heureux ? Des fois, ce mélange de tristesse et de bonheur, ça me fait venir les larmes aux yeux. Ma copine sent mon émotion et me serre un peu plus fort sans rien dire. Ce que j’aime beaucoup, c’est quand elle me gratte le dos. C’est fou le bien que ça fait : des vagues de plaisir et de relâchement qui parcourent mon dos, mon corps. Mes muscles se relâchent en quelques soubresauts. Et alors, là, ça va très très bien. Au début, j’aimerais que ça s’arrête jamais, mais quand je commence à avoir la peau toute rouge et usée, elle passe à quelques caresses douces et légères, et alors je me dis que ça fait du bien aussi quand c’est fini. Parfois, elle descend ses doigts entre mes fesses, sur les toutes dernières vertèbres. Elle fait un tout petit massage circulaire, à peine esquissé, surtout pas trop fort. Je ne sais pas pourquoi cette zone est si sensible, mais c’est comme un interrupteur, comme si on débranchait mon cerveau : la tension dans mes yeux se relâche, la tension dans ma poitrine aussi, j’arrête de ...
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