Dame Erika (5)
Datte: 27/07/2017,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
... tout seul et tombe au sol en libérant une longue chevelure brune, soyeuse et abondante. Les boutons de l’encolure de la robe sont défaits, la laissant glisser au sol. Les tailleurs et fabricants d’affublements (vêtements) n’ont pas encore inventé les culottes, soutien-gorge, slips et autres vêtements intimes, et c’est à la vue de tous, un peu crispée et le visage rosi par la gêne, qu’elle offre son corps de jeune femme entièrement nu. Elle tente de cacher assez maladroitement son intimité ; se montrer nue en public est pour elle une première. Une douce chaleur envahit son ventre ; un picotement naissant dans son vagin lui fait pressentir l’arrivée de quelque chose d’inattendu et de jouissif. Il faut préciser qu’à cette époque-là, la femme n’avait d’autre contentement que celui d’ouvrir les jambes pour satisfaire les besoins sexuels de son mari, le plaisir que toute femme attend normalement d’une relation sexuelle passant au second plan. Alors l’envie et la curiosité font tomber les dernières barrières de sa pudeur de Dame Erika, et c’est sans opposer de résistance qu’elle se laisse accompagner sur l’immense lit à baldaquin. Ce lit capable de recevoir quatre personnes accueille aisément les trois femmes, couchées sur un moelleux édredon en duvet d’oie et de canard dont l’enveloppe de soie procure une douce sensation de bien-être. Allongée sur le dos, Dame Erika s’abandonne aux caresses des doigts agiles d’Élise et de Tina qui effleurent sa peau ; un doux frisson parcourt ...
... tout son corps, faisant dresser son doux duvet. Deux langues font le tour des aréoles rosées au centre desquelles les tétons sont érigés. La douce chaleur qui a envahi son ventre s’est transformée progressivement en un picotement de plus en plus précis et de plus en plus envahissant à l’endroit le plus secret de son intimité. Les mains des deux filles connaissent parfaitement le corps féminin et savent exactement où aller pour lui faire vivre un moment d’intense plaisir. Loin d’imaginer ce qu’il va se passer dans ses entrailles, Dame Erika s’abandonne complètement, sans un mot, les yeux clos. Seules une respiration profonde et soutenue ainsi qu’une légère ondulation des hanches invitent et réclament des caresses plus insistantes. Une langue – celle d’Élise – est restée sur la poitrine de la belle et continue à lécher. Les lèvres pincent, sucent ; plus fort encore, des dents mordillent les tétons tour à tour. La langue de Tina part à la recherche du bouton enfoui dans une toison abondante ; la brune lesbienne sait que dès qu’elle va le toucher, ce contact va provoquer une décharge électrique dans le fourreau d’Erika et enclencher le processus de production d’endorphines qui, petit à petit, l’emporteront vers les sommets du plaisir. À la vue de ce spectacle, les deux garçons arborent une érection hors du commun qui leur donne envie de s’attraper l’engin et de le secouer avec frénésie jusqu’à ce que le jus produit par ces usines à spermatozoïdes gicle à plusieurs reprises pour ...