1. Et pour finir...


    Datte: 09/08/2018, Catégories: fh, gros(ses), groscul, douche, amour, volupté, odeurs, Oral pénétratio,

    ... pour exploser en une gerbe d’étoiles filantes dans ma tête ! Elle m’a dit aussi avoir tout avalé, qu’elle avait décidé de le faire, quand l’idée de me sucer avait jailli dans son cerveau. Elle a eu peur de m’avoir tué quand je me suis évanoui. Mais, tout de suite, elle a vu ma poitrine monter et descendre. Elle a posé sa tête dessus et a entendu mon cœur battre très fort et très vite. Quand je suis revenu à moi, quelques instants plus tard, elle se tenait au-dessus de moi en me souriant. Elle caressait mon front, mes cheveux, mes joues. Elle m’a dit : — Bonjour, mon amour… Je lui ai répondu d’un faible sourire : j’étais incapable de parler. — Reste allongé un moment… Regarde, je m’allonge à côté de toi… On peut dormir un petit peu, si tu veux… Je ne voulais pas dormir, mais la fatigue s’est emparée de moi et j’ai fini par sombrer. Je me suis réveillé quelques temps plus tard. Je ne sais pas combien… Elle dormait toujours. Elle avait pris ma main dans la sienne, était couchée sur le ventre le visage tourné vers moi. Elle semblait si sereine ! Je me suis levé tout doucement ; je ne voulais pas la réveiller. Je suis allé faire à manger, j’avais une faim de loup ! Je me suis dit qu’une légère entorse à son régime ne lui ferait pas de mal ! On avait besoin de reprendre des forces. Je nous ai préparé une omelette dont j’ai le secret. Pendant qu’elle "prenait", j’ai jeté le café dans l’évier : il était "bouillu" ! Et comme on dit chez nous : "café bouillu, café foutu !" Je suis ...
    ... retourné dans la chambre après avoir coupé le feu sous l’omelette. Elle avait roulé sur le dos, avait les yeux grands ouverts. — Ça sent bon ! Omelette ?— Oui… viens… J’avais du mal à parler. Ça me raclait la gorge. Je lui ai tendu la main, elle l’a prise. Tout en mangeant nous avons parlé de choses et d’autres, enfin, surtout elle parce que ma gorge me faisait trop mal. Je buvais ses paroles : elle développait ce qu’elle avait commencé à me dire, apportant plus de précisions dans ses impressions et ses sentiments. Et plus je l’écoutais, plus je l’aimais ! Au cour d’un de ses silences, une question s’est imposée à mon esprit : — Comment t’est venue l’idée d’utiliser tes ongles ?— Mais, je n’ai pas utilisé mes ongles !— Quoi ?— Juste ma bouche, et mes mains… mais, sans les ongles !— Mais… comment t’as su… pour la douleur ? Elle s’est appuyé sur le dossier de sa chaise et a posé son pied droit sur la table. — Regarde, tu vois cette cicatrice ? Quand j’avais trois ou quatre ans, une bûche de l’âtre de notre cheminée a roulé et est venue heurter ma jambe, juste ici… Tu la vois ? Et bien, quand je passe doucement mon doigt dessus, comme ça, je ne sens rien. Mais quand je gratte avec l’ongle, ou avec les dents, la partie insensible n’est pas assez épaisse pour empêcher la douleur ! Et après, quand j’ai rappelé aux nerfs qu’ils existaient encore, je peux à nouveau sentir la caresse. Elle a reposé son pied par terre, m’a considéré, non sans une once de fierté dans le regard. Elle pouvait ...