1. Solenn, Philippe, les cerfs-volants et la tarte aux pommes


    Datte: 09/08/2018, Catégories: fh, fhhh, couple, couplus, inconnu, vacances, plage, douche, revede, Oral pénétratio, double, Partouze / Groupe fsodo, exercice, portrait, occasion, extraconj,

    ... j’imagine des plaisirs, mon corps abandonné. Vivre un fantasme, oui… j’ai bien envie. — Messieurs, si Philippe souffle dans son didgeridoo, vous viendriez ? « Oui ! » : Réponse unanime. Il suffira que j’ajoute le mien, si j’y arrive… —oooOooo— Il ne nous a pas fallu longtemps pour faire un aller-retour de ma voiture à la plage et de tout installer dans un coin tranquille et légèrement abrité. Ils ont même ramassé du bois sec et fait trois petits feux de camps tout autour pour nous réchauffer. Le murmure de l’eau est apaisant, les flammèches dansent et crépitent. C’est un petit bout de bonheur. Je suis si bien ici avec Philippe. Un« au revoir », un« À tout à l’heure… peut-être », et bientôt nous ne voyons plus les silhouettes des hommes qui s’éloignent pour rejoindre le secteur des entraînements. Philippe installe le grand duvet sur le sable, il fait si bon. La fermeture éclair glisse pour emballer nos amours. Le sable prend la forme de mon dos et reçoit mon abandon. Philippe se colle à moi, allongé sur le côté, la tête sur sa main. Ses caresses me font vibrer. Sur les joues, comme c’est agréable, puis le bout de son doigt trace des sillons sur mon cou. Je bascule ma tête en arrière. Gestes sensuels… divins. De tout mon corps je dis oui. Mille fois oui aux habits qui me quittent un par un sous les doigts agiles de mon amant. Mille fois oui à sa main sur mes seins. Vas-y Philippe, palpe-les, ils sont gorgés de vie, malaxe mes bouts durcis entre deux doigts pour qu’ils pointent ...
    ... encore plus. Ma peau veloutée n’attend que ta bouche et mes mamelons réclament tes lèvres. Je me cambre pour lui offrir ma poitrine ronde et ferme pour accompagner mes pensées. J’implore. Mais non, pas tout de suite… — Pourquoi ?— Le supplice de l’attente est infiniment bon. Je vibre, je frémis d’impatience. Puis une décharge électrique me parcourt tout entière du bas des reins jusque dans la nuque quand il me frôle un sein, puis l’autre, avec ses cheveux poivres et sel. Les mèches sauvages me caressent longuement et ma féminité se réveille. J’ondule doucement, chaque parcelle de mon corps s’aventure sur le chemin du plaisir et je m’enhardis, je vais au-devant de ses effleurements. Il continue le jeu. Un murmure, un soupir. Sa chevelure approche de mon ventre, cheveu par cheveu. Je gémis. Ses mains s’emparent avec délicatesse de mes seins et sa bouche se pose sur mon ventre. Je ferme les yeux. Le plaisir est plus fort, les sensations… exacerbées. Ses lèvres me frôlent, ses doigts m’effleurent. Je vibre de contentement. Mes pensées s’enflamment et je les laisse m’envahir en totale liberté. Mais je suis troublée, je ne sais pas pourquoi, à ce point. Jamais avant… au fond de moi… Ce n’est pas possible que ce soit moi, celle qui se fraye un passage pour réclamer tant l’exubérance, de hardiesse. Je résiste, je lutte pour refuser mon envie de dérive, pour ne pas basculer vers des suppliques de débordements sexuels. Pourtant la petite voix sucrée et insistante me dit d’accepter, de ...
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