Solenn, Philippe, les cerfs-volants et la tarte aux pommes
Datte: 09/08/2018,
Catégories:
fh,
fhhh,
couple,
couplus,
inconnu,
vacances,
plage,
douche,
revede,
Oral
pénétratio,
double,
Partouze / Groupe
fsodo,
exercice,
portrait,
occasion,
extraconj,
... de tarte aux pommes près de la tente. Je ne sais pas quoi dire, ni quoi faire. Alors je reste silencieuse, c’est mieux. Philippe descend la fermeture éclair du duvet mais il laisse le tissu sur ma nudité. Domi se glisse à côté de moi, puis il me murmure à l’oreille d’une voix calme et rassurante. — Solenn, ils vont un par un poser les cerfs-volants autour de toi et venir nous rejoindre. Je suis sans voix. Puis une tension. C’est mon bras. Je me concentre sur la chorégraphie et la musique, les yeux en l’air. Je me détends et je commence à apprécier la caresse de Domi sur mon bras. Le premier geste. C’est facile, le plaisir suffit. Son doigt se réchauffe sur ma peau. Douceur tendre et caresse velours. J’aime. Je soupire. Philippe. Ses mains sur mes cuisses, c’est agréable. Je gonfle les poumons, mes seins en avant. Je relâche l’air et je me love un peu plus dans les bras de mon amant. Domi. Une main sur mon ventre, un baiser sur l’épaule. Délicat. Le ciel argenté sous mes yeux, les cerfs-volants qui dansent. La musique s’est tue, inutile. Je n’écoute plus que mon envie. Les mains. Un cerf-volant se pose. L’attente, puis une certitude. Un homme, grand, là, assis de l’autre côté. Il enlève ses gants. Deux mains de plus. Des doigts longs sur mes genoux et la remontée lente. J’écarte un peu les cuisses. Les mains s’arrêtent. Je les guide, le chemin n’est pas fini. Elles doivent dire oui, j’ai besoin. Plus de résistances, un accompagnement, enfin ! Cuisses écartées. Merci Domi et ...
... Philippe, il fallait, j’attendais. Je gémis. Le doigt devant mon entrée, puis en moi, trempé de mouille, conquérant, hardi. Une possession de mon sexe, j’ai voulu. Une soumission, mon corps tout entier. Mon intimité offerte. Mes cuisses pour les caresses de Domi. Mes seins pour remplir les mains de Philippe. La ferveur des trois hommes, un enchantement. Mon sang bouillonne, mes veines vont exploser. Non, pas encore. Un deuxième cerf-volant se détache et vient se poser à côté du premier. Je m’enflamme avant même que les deux nouvelles mains me prennent. L’impatience, l’excitation, la fièvre me gagne et mes entrailles palpitent. Je fais un geste de la main pour écarter le duvet. Moins de doigts me caressent, comme un abandon, c’est frustrant, puis je sens le duvet glisser sur le côté… il n’existe plus. Je suis nue, livrée à leurs regards. L’homme qui vient d’arriver se place entre mes jambes et embrasse mes cuisses. Philippe murmure : — Une bouche chaude qui goûte la peau délicate de ton entrecuisses c’est bon, hein ?— Ouiiii…— Repousse le doigt si tu veux que la langue t’empale. J’attrape le poignet, je chasse la main. La chaleur mouillée de la bouche s’empresse à me satisfaire. Les lèvres se ventousent sur mes lèvres intimes, mon clito est lapé. La bouche salive sur ma vulve, les fluidités se mélangent, puis il avale tout, ma liqueur… un renouvellement sans fin, tant c’est bon. Philippe me soutient, puis il demande aux autres de me maintenir pour se dégager. Ils m’allongent. ...