1. Un vieux fantasme assouvi


    Datte: 10/08/2018, Catégories: 2couples, extraoffre, copains, danser, Oral pénétratio,

    ... main touchait presque le string. Revenant à ma Géraldine, qui maintenant s’était saisie de mon sexe au travers du pantalon, il me vint l’idée de commencer à la déshabiller. Sa robe avait une fine fermeture éclair dans le dos qui descendait jusqu’au niveau des fesses. Je la tirai jusqu’en bas, puis écartai les deux pans dénudant entièrement son dos et laissant apparaître le ravissant petit string que la petite salope m’avait déjà exhibé sur le canapé. Un string si fin qu’il pénétrait entre ses fesses, laissant ces dernières quasiment nues. — Qu’est-ce que tu fais, me demanda-t-elle ingénument ?— Tu es si bandante, ma belle, lui répondis-je, que tu me rends fou… J’ai envie de toi.— Mais je suis une femme mariée, poursuivit-elle sans pour autant s’éloigner et tout en continuant à me caresser le pantalon déformé par ma bite au plus haut de sa forme. Et si mon mari nous surprenait !— Je crois que ton mari a bien d’autres préoccupations. Elle se mit à rire. La belle était alors devenue mon jouet, incapable de lutter contre mes assauts, en femme soumise, bien trop désireuse de sexe. Il n’y avait plus maintenant que deux frêles bretelles pour retenir sa robe légère. Je les fis lentement glisser sur ses épaules et bientôt la robe fila le long de son corps avec la rapidité d’une ombre. Elle s’en débarrassa d’un léger mouvement du pied, se retourna, m’offrant toute sa nudité et plongea son regard envoûtant dans le mien. Puis elle se pendit à mon cou et me donna un nouveau baiser encore ...
    ... plus brûlant que le précédent. Décidément, cette fille était un vrai volcan ! Que n’ai-je attendu si longtemps pour le découvrir ? Alors je décidai de l’emmener dans la chambre. Mû par une excitation incontrôlable, je n’avais plus qu’une idée en tête : la baiser ! Je la saisis par les fesses d’une main énergique et l’entraînai vers ce lieu de plaisir où j’avais déjà si souvent baisé ma Véronique. En passant devant l’autre couple, qui était toujours en train de danser, je glissai à l’oreille de mon épouse : — Quand vous serez prêts, venez nous rejoindre. Elle me fit un clin d’œil et me chuchota à l’oreille : — À la pensée que tu vas la faire jouir avec ta grosse queue, ça me rend jalouse. Je me contentai de lui sourire et je disparus dans la chambre, poussant toujours ma conquête par les fesses. Dans la chambre, je dois dire que Géraldine prit les choses en main. Elle commença par déboutonner ma chemisette, lentement, en prenant soin de bien l’écarter un peu plus à chaque bouton, me prodiguant tantôt une caresse, tantôt un doux baiser sur la poitrine. Puis, une fois que j’en fus débarrassé, elle défit la ceinture de mon pantalon et ouvrit la braguette tout en me jetant un regard de défi, comme pour me rappeler que c’était elle maintenant la « maîtresse de cérémonie ». Je sentis alors sa main envelopper la bosse de mon boxer et serrer mon sexe au travers du tissu afin de mieux en apprécier la rigidité. — On dirait que je te fais de l’effet, minauda-t-elle.— Quel homme pourrait ...
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