1. L'amant !


    Datte: 28/07/2017, Catégories: Entre-nous, Les hommes,

    ... derrière le Pub. À la lumière lointaine d’un réverbère, sa délicieuse queue trouva entre mes lèvres tout le réconfort qu’elle attendait. La différence fut qu’il me demanda de me branler en le suçant, pour ne pas jouir égoïstement. Son sperme termina dans mon ventre sans que j’en perde une infime goutte. Le mien s’écoula d’abord sur mes doigts, avant de s’ajouter au sien dans mon ventre, ce qui l’excita beaucoup. — Tu aimes donc tant le foutre que ça ? — Tu n’as pas idée. J’en rêvais, ado, et quand mon premier mec a déchargé dans ma bouche, ça a été une révélation. T’as jamais goûté ? — Euh... non. Mais j’essaierai peut-être un jour, rien que pour ne pas finir idiot. — Et prendre un mec, ça te dirait ? osais-je, chaud bouillant. — Je ne sais pas. Il faudrait que je sois méchamment en manque ! — Il y a deux jours, tu pensais que j’allais te sucer ? Ni que t’allais y revenir ? — Ce n’est pas faut. Tu as de bons arguments, toi. — M’essayer, c’est m’adopter, tu verras. répondis-je en rigolant. Une petite semaine plus tard, bien déterminé à obtenir ses faveurs entre mes fesses, je m’étais préparé dans les règles de l’art afin de lui offrir le meilleur de moi-même. Ce soir-là, nous avions passé une soirée avec quelques amis dans un bar à vins. Vers minuit, nous repartions vers nos voitures garées à quelques rues de là. — Envie de tailler une petite pipe ? — Voiture ou maison ? répondis-je du tac au tac. — Chez toi ou chez moi ? — De préférence chez moi. Ce soir, j’en espère un ...
    ... peu plus. affirmais-je, posant clairement les bases. À peine étions-nous arrivés à destination que sa grosse verge retrouva la douce chaleur de ma bouche, ne tardant pas à y jouir violemment. Ses performances et ses dimensions exceptionnelles me grisaient. La tenir, la sucer était un privilège, comme posséder quelque chose que les autres n’ont pas. La tenir dans ma main était comme posséder la clef d’une puissante voiture de sport ; la sentir glisser entre mes lèvres, comme être à son volant. Quant à ses impétueuses éjaculations, c’était comme avoir flirté avec la zone rouge du compteur pour remporter la victoire. Le goût de son sperme, l’odeur de la gomme sur l’asphalte. Le temps d’une cigarette, je savourais ma victoire. Je me levais pour mettre de la musique et nous servir un verre. Avant de me rasseoir à ses côtés, je disparaissais à la salle de bains. Mes vêtements glissèrent à terre, une noix de vaseline graissa ma porte dérobée. De retour, il était aussi nu que moi. Je bus une gorgée et lui dis que j’en avais très envie. Les mots n’avaient pas de place, il en était conscient. — Viens, on sera mieux dans la chambre. lui intimais-je. Lorsque sa main glissa le long de mon dos pour arriver sur mes fesses, mon ventre se contractait agréablement, impatient de sentir le sexe que j’avais en bouche me pénétrer. Sa queue reprenait déjà de la consistance, mais le processus s’accélérât quand un doigt timide osa s’insinuer entre mes globes. D’abord un, puis très vite deux doigts ...
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