1. 23 avril-6juin


    Datte: 11/08/2018, Catégories: fh, jeunes, alliance, Collègues / Travail jardin, cinéma, toilettes, strip, photofilm, Masturbation Oral pénétratio,

    ... milieu de la salle de lecture où je la fais mettre à quatre pattes. Elle pose son front sur un bras replié, écarte les jambes et se cambre au maximum. Elle fait ainsi jaillir sa croupe et met en évidence ce qui fait d’elle une femme. Je tourne autour d’elle. Je n’arrête de prendre des photos que pour mieux goûter les différents paysages qui s’offrent à moi. Comme je passe derrière elle, ses mains arrivent jusqu’à son sexe. Elle écarte doucement ses lèvres pour exhiber encore plus son intimité à mon objectif. C’est un spectacle d’une beauté sauvage. Hélas, j’arrive au bout de ma pellicule. Je pose mon appareil et profite qu’elle soit ainsi offerte pour aller déposer un baiser à ce qui m’a tant ému. Elle se redresse. Tandis que nous faisons un petit brin de toilette à la cuisine avant de nous rhabiller, elle me dit : — Je crois que moi aussi j’aimerais bien prendre des photos de toi.— Ce sera avec plaisir. Je ne peux rien refuser à ma Doa. On pourra même faire des photos de nous deux ensemble avec le retardateur ou le déclencheur à distance.— Hum, ça c’est une bonne idée. Mais c’est quoi, Madoha ?— Ma Dominique adorée, bien sûr. Nous n’avons plus le temps d’aller à la cantine. Nous sortons pour acheter un sandwich et le mangeons en nous promenant main dans la main. L’après-midi se passe calmement. Peu avant la fermeture, Gwendoline appelle. Elle me demande par l’intermédiaire de sa sœur si ça ne serait pas abuser de venir encore chez moi pour travailler dimanche. Je murmure à ...
    ... l’oreille de ma chérie que c’est d’accord pour moi, si elle n’y voit pas d’inconvénient. Elle n’en voit pas. Rendez-vous est donc pris pour le dimanche. Elle arrivera vers 10 h 00. Décidément, ce n’est pas une fanatique de la grasse matinée. Deux minutes plus tard, le téléphone sonne de nouveau. C’est la mère de Dominique à l’appareil. Après avoir échangé quelques mots avec sa fille, elle demande à me parler. Je suis perplexe. C’est une invitation à venir dîner le lendemain soir pour me remercier de mon accueil et de mon aide à Gwendoline. Je remercie avec chaleur et accepte. Nous fermons la bibliothèque et échangeons un dernier baiser avant de rentrer. En venant, je passe chez le photographe pour donner à développer la pellicule prise la veille. Je lui demande de faire en plus un tirage papier à partir des diapos. La journée de travail se passe normalement. Le soir, je pars avec Dominique pour me rendre à l’invitation de sa mère. Quand nous sommes près de chez elle, je la laisse partir en avant, le temps pour moi de passer chez un fleuriste. Muni de mon bouquet, je sonne à la porte. Une jeune femme dont la ressemblance avec Dominique et Gwendoline est frappante m’ouvre la porte. Elle est un peu plus petite, mais même morphologie, mêmes yeux verts, et les cheveux blonds de la cadette. Elle est habillée d’une jupe beige plissée arrivant juste au-dessus du genou et d’un chemisier assorti légèrement décolleté. — Bonjour ! Bernard La Contrie, enchanté de faire ta connaissance, ...
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