1. 23 avril-6juin


    Datte: 11/08/2018, Catégories: fh, jeunes, alliance, Collègues / Travail jardin, cinéma, toilettes, strip, photofilm, Masturbation Oral pénétratio,

    ... laissé ses affaires et des livres ouverts sur la table de la salle à manger. Elle doit compter revenir demain. Après avoir donné à manger à Sekhmet, je décide d’aller prendre une nouvelle douche, le retour à pied combiné à ma nervosité m’ont mis en sueur. L’eau qui me coule dessus me fait du bien. Comme j’ouvre la porte de la salle de bains pour aller chercher un pyjama, je me retrouve face à Gwendoline. Je baisse précipitamment la serviette avec laquelle je m’essuie les cheveux pour cacher ma nudité. Elle n’a pas l’air de vouloir se retirer, ni de se tourner. Elle demande d’un air dégagé : — Alors, l’après-midi a-t-il été bon ? Je suis un peu surpris qu’elle se lance dans des conversations mondaines dans la tenue où je suis. — Heu… oui J’ai reporté ses affaires à ta mère.— Et ça s’est très bien passé, hein ! Alors, elle baise bien, Maman ? Et voilà la cerise sur le gâteau ! Gwendoline nous a surpris en pleine action, Anne et moi ! Comme s’il n’y avait pas déjà assez de difficultés ! — Dominique ne te suffisait pas, il te fallait Maman aussi… Je ferme les yeux une seconde pour reprendre mon calme et essayer de désamorcer la crise. Lorsque je les rouvre, j’ai juste le temps d’apercevoir Gwendoline abattre son bras prolongé d’un vase, avant d’avoir l’impression que mon crâne explose. Mon esprit se brouille, je sens que je m’effondre, j’essaie de me retenir, mais je perds conscience. J’entends une voix. Je ne comprends pas ce qu’elle dit. J’essaie de fixer mon attention mais ma ...
    ... tête bourdonne douloureusement. Petit à petit, les paroles que j’entends deviennent distinctes, mais la compréhension m’en échappe : — Pardonne-moi… Je ne voulais pas te faire de mal. Quand j’ai su pour Dominique j’ai été malheureuse. Mais de te voir avec Maman ça m’a rendue folle. Réveille-toi, s’il te plaît. Oh non, je ne veux pas te faire de mal ! Pardonne-moi… Non, il ne faut pas… Pardonne-moi… L’entendement me revient. Lentement, je prends conscience de la signification des paroles que j’entends. Tout me revient en mémoire. J’essaie d’ouvrir les yeux, cela me demande un effort. J’y parviens. Le visage de Gwendoline apparaît à quelques centimètres du mien. Elle est en pleurs et a des traces de sang sur la figure. Lorsqu’elle s’aperçoit que j’ai ouvert les yeux, elle explose de joie mais pleure toujours autant. — Tu es vivant, je ne t’ai pas tué. Et elle se met à m’embrasser le visage, le mouillant de ses larmes. Elle se redresse. Je la distingue mieux. Je me rends compte que sa robe est maculée de sang et que tout le devant en est arraché, laissant sa poitrine dénudée. — Ne bouge pas, je vais chercher des pansements. Elle se lève et disparaît de mon champ de vision. Elle réapparaît et m’éponge le visage, la fraîcheur me fait du bien. À un moment, une douleur me vrille la tête, me ramenant à plus de réalité. J’essaie de la faire cesser. — Ne bouge pas, il faut que je nettoie ta blessure. Je la laisse faire. Je sens les forces me revenir peu à peu. Je tente de me redresser ...