23 avril-6juin
Datte: 11/08/2018,
Catégories:
fh,
jeunes,
alliance,
Collègues / Travail
jardin,
cinéma,
toilettes,
strip,
photofilm,
Masturbation
Oral
pénétratio,
... ses seins s’écraser contre ma poitrine. Nous nous embrassons à en perdre le souffle. Nous finissons par nous séparer. Pendant que je me rajuste, Dominique nettoie sa jupe. Puis elle remet son soutien-gorge, son chemisier, sa jupe et demande : — Sais-tu où est mon slip ?— Oui.— Où ça ?— Dans ma poche.— Donne-le-moi que je finisse de m’habiller.— C’est une prise de guerre. Je le garde en otage.— Je ne vais pas oser bouger de l’après-midi si tu ne me le rends pas. Ma jupe est trop courte, dit-elle en montrant qu’elle lui arrive à mi-cuisse.— Si tu évites de danser le rock, de monter sur un escabeau et de te pencher sans plier les genoux, il n’y aura pas de problème…— Oh, toi alors ! Mais je ne peux quand même pas sortir avec ma jupe humide qui me colle à la peau.— Je vais faire des courses et nous déjeunerons ici, ainsi tu pourras sécher à ton aise. Si tôt dit, si tôt fait. À mon retour, elle me semble un peu sombre. Je lui demande : — Que t’arrive-t-il ? Tu as un drôle d’air brusquement. Elle hésite un peu avant de répondre. — Qu’est-ce que tu dois penser de moi ?— Mon opinion te paraît-elle si importante ?— Je… je ne voudrais pas que tu penses que…— Cela t’ennuierait tant que j’ai une piètre opinion de toi ? dis-je en lui caressant la joue.— Je crois que oui.— Si c’était le cas, je ne pourrais avoir que la même opinion de moi. Tu sais, je suis content que tu aies bousculé les choses. Moi, je suis trop raisonnable et trop misanthrope peut-être aussi pour le faire. Même si mon ...
... coup de folie de samedi peut laisser croire le contraire. Dès le début, je t’ai trouvée charmante avec ta spontanéité. Mais, au vu de nos relations de travail un peu tendues, je ne me voyais pas te faire du charme et je le regrettais. Elle vient se serrer contre moi, la tête contre mon épaule. Nous allons ensuite déjeuner face à face en échangeant de tendres paroles. Il faut ensuite aller ranger avant l’arrivée des lecteurs. Dominique s’arrange pour virevolter en passant près de moi, faisant voler sa jupette, ou pour ranger des livres sur les rayonnages les plus hauts ou les plus bas, me dévoilant à chaque fois un peu de son anatomie intime. L’après-midi se passe sans incident. Dominique me laisse voir sous sa jupe, chaque fois que c’est possible. Le soir, je l’invite à dîner. À regret, elle ne peut accepter. Son père, absent pour un voyage d’affaire aux Etats-Unis depuis la discussion qui l’a amenée ici, doit passer ce soir avant de repartir pour le Moyen-Orient. Mais pour le lendemain, c’est d’accord, elle préviendra sa mère de ne pas l’attendre pour dîner. Chacun rentre donc chez soi après un long baiser. Au travail, nous sommes très sages, hormis quelques bisous et des mains baladeuses, lorsque le public n’est pas là. Le midi nous allons manger de concert à la cantine. À 19 h 00, après la fermeture, Dominique m’accompagne jusque chez moi. Je lui présente Sekhmet. Celle-ci la regarde d’un air dubitatif, la renifle et finalement vient se frotter contre sa jambe. Elle est ...