1. Je fantasme sur ma soeur (1)


    Datte: 11/08/2018, Catégories: Hétéro

    Chapitre 1 : La saint-valentin. Ma sœur me traite tout le temps de pervers parce que je n’arrête pas de la reluquer. Je n’en peux rien. J’ai dix-huit ans, avec peu d’expérience sexuelle, et je suis en manque. Comment suis-je censé réagir quand cette allumeuse se balade sans gêne en tenue légère dans la maison sous prétexte que nous sommes en famille ? Je suis peut-être son petit frère, mais je reste un homme, merde ! Faut voir ce qu’elle porte parfois, aussi. Quand elle se balade le matin, en culotte, sans soutif, avec un haut moulant qui fait transparaitre sa grosse poitrine qui pointe, c’est difficile de ne pas avoir une érection. Et puis je dois bien l’avouer, je la trouve magnifique. Elle ne ressemble certes pas aux canons de beauté qu’on a l’habitude de voir dans les films ou dans les pubs, mais cela n’a jamais été mon truc. J’ai toujours trouvé ce genre de filles trop maigre. Oh, Natasha n’est pas vraiment ronde, ni grosse, mais elle a plutôt une forte corpulence avec une taille moyenne. Ajouté à cela de longs cheveux châtains qui lui tombent en haut du dos, et de beaux yeux verts, elle me fait craquer. Je regrette vraiment qu’elle soit ma sœur. Elle est vraiment mon type idéal. Je me suis souvent branlé en pensant à elle. Au début, j’avais honte. Puis le temps passant, je me suis habitué à l’idée qui n’avait plus rien de choquant. Si j’étais un vrai mâle, ou si j’avais été le plus âgé des deux, peut-être n’aurais-je pas hésité à lui sauter dessus malgré notre lien de ...
    ... parenté, mais au lieu de ça, je reste à ses yeux le petit merdeux de service. Le plus difficile, c’est lorsqu’elle a un petit copain. Alors là, je deviens complètement fou. Savoir qu’un autre homme est en train de profiter de son corps, cela me rend jaloux. C’est encore pire lorsqu’il m’arrive de les entendre baiser dans sa chambre. Je ne peux alors m’empêcher de m’astiquer en m’imaginant être celui qui la prend. Elle doit avoir raison, je ne suis vraiment qu’un sale petit pervers. Ce matin-là semblait être un matin de weekend comme tous les autres. Toute la famille s’était réuni dans la cuisine pour prendre le petit-déjeuner, et, encore une fois, je ne pus m’empêcher de fixer le décolleté de ma sœur qui se baladait à moitié à poil. Elle le remarqua, mais au lieu de me rendre un regard noir comme elle le fait d’habitude, elle me rendit un sourire. Cela m’inquiéta. Je craignis qu’elle fût en train de me préparer un vilain tour. Après avoir mangé, je fis ma vaisselle et m’en alla. Ma sœur m’imita, mais alors que je m’attendais à ce qu’elle rejoigne sa chambre, comme moi, elle me suivit dans la mienne : — ’Faut qu’on parle, Frangin, déclara-t-elle. Ca y était. Les remontrances allaient arriver, me disais-je, cela m’aurait étonné. Mais au lieu de cela, elle me demanda : — Tu sais quel jour on est ? — Heumm, le quatorze février ? répondis-je sans comprendre où elle voulait en venir. — Oui, c’est la Saint-Valentin ; et cette année, j’ai envie de te faire un cadeau un peu spécial. Je ...
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