Première rencontre avec Mademoiselle Daphnée
Datte: 11/08/2018,
Catégories:
hplusag,
Collègues / Travail
fsoumise,
hdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
chaussures,
nopéné,
portrait,
fsoumisah,
vêtements,
J’ai reçu aujourd’hui la visite de ma nouvelle secrétaire, Daphnée. Comme prévu, elle s’est présentée au Manoir après 13 h 30. Je voulais que nous ayons le temps de faire connaissance. C’est une jeune femme ravissante. Elle m’a donné la preuve de son entier dévouement. Je pense qu’elle sera une assistante parfaite. Sa présentation et ses manières contrastent d’ailleurs étrangement avec sa jeunesse, comme si elle était inspirée pour découvrir d’elle-même le code et les usages de son métier. Quelques secondes après que la clochette ait retenti, j’ouvris la porte d’entrée. Une jeune femme blonde d’une vingtaine d’années, grande, aux traits réguliers et à l’allure coquette, me souriait, à l’évidence pressée d’entrer. Elle portait un manteau foncé par-dessus un tailleur beige assez strict. Une écharpe et un béret crème ornaient son visage rosi par le froid. Des gants en cuir marron dissimulaient des mains fines, refermées sur un large parapluie qu’elle tenait droit au-dessus de sa tête. J’eus encore le temps de noter qu’elle portait aux pieds des escarpins. — Bonjour Monsieur. Je suis Daphnée, votre nouvelle assistante, Monsieur. Je viens comme prévu pour entrer au service de Monsieur, Monsieur. Une voiture m’a laissée à l’entrée du domaine. Comment avait-elle pu arriver jusqu’au porche avec ses talons aiguilles, en dépit des graviers dans la cour et du sol détrempé par la pluie ? Elle ne paraissait pas incommodée par ce détail. Son élégance était intacte. Je l’observai plus ...
... attentivement. Elle parlait avec application, en souriant ; la diction était nette et mesurée. Sa bouche portait un rouge onctueux, un peu gras, qui restait collé à la commissure des lèvres. Le maquillage était posé avec précision, sans dissonance de tons. Sur ses épaules, ses cheveux blonds, échappés du béret, retombaient en ondoyant légèrement, entraînés par le vent. Je la fis entrer. Ses talons aiguilles piquetèrent le sol carrelé du hall. Elle se tint en retrait, droite. Une contenance exemplaire. Je pris son parapluie et l’aidai à ôter son manteau. Elle se laissa faire, enchantée par ma sollicitude. Elle n’avait aucune affaire avec elle, conformément à notre arrangement, mais un petit sac à main. La veste du tailleur était ouverte sur un corsage décolleté, dont les formes trahissaient une poitrine bien faite. Sa jupe cintrée dessinait une silhouette svelte. À l’infime saillie qu’elles marquaient sous l’étoffe de la jupe, je devinai la présence de jarretelles sur ses cuisses ; du reste, les bas plissaient à hauteur des chevilles. Elle leva les yeux à cet instant. Nous échangeâmes un regard, avec un trouble évident. Elle ne put s’empêcher de rougir. — Je ne voudrais pas faire mauvaise impression à Monsieur. Monsieur s’attendait-il à autre chose ? Je n’avais prononcé qu’un piteux « Entrez, Mademoiselle. » depuis son arrivée. — Non, non, c’est très bien ainsi. Vous êtes ravissante. Nous allons régler quelques détails liés à votre prise de fonctions. Vous pouvez vous rendre au ...