Surprise - 2 - Histoires de Sexe

Surprise - 2

... vais être obligée de lui céder ?— Mais non, ma chérie ! Tu ne fais que ce que tu as envie de faire ! Dom est un homme sérieux et il ne se permettrait pas de tenter quoi que ce soit si tu n’es pas d’accord ! Même si nous nous contentons de boire un verre il ne nous en voudra pas !— Tu es sûre ?— Absolument ! Elle se jeta dans mes bras, planta ses lèvres douces et chaudes dans mon cou, ses seins dardés contre ma poitrine… Son ventre vint se coller à mon pubis. — Ohhhh… Kris, je crois que, si tu m’aides un peu, je risque de faire des folies…— Ce n’est pas grave… au contraire. Et, promis, c’est avec beaucoup de plaisir que je vais t’aider, tu ne le regretteras pas !— Hummmm… J’ai envie de caresses, de baisers… De plein de choses ! Quelques petits coups frappés contre la baie vitrée nous séparèrent. Souriant, Dom attendait à l’extérieur. Marjorie est restée dans mon bureau. J’ouvris et sortis sur la véranda. La porte automatique se referma dans mon dos, je pus donc parler quelques secondes avec notre invité. — Dom, ce n’est pas que pour t’offrir un verre que je t’ai invité…— Ah bon ? Aurais-tu encore envie de ton vieil amant ? Si c’est le cas, tu m’en vois ravi et tout disposé à me sacrifier pour toi !— Idiot ! Oui, t’avoir croisé tout à l’heure m’a donné des idées… coquines ! Mais j’ai une surprise pour toi… Tu as remarqué la jeune fille qui était avec moi tout à l’heure ?— Bien sûr ! Le genre de silhouette qu’on ne peut pas ne pas remarquer. C’est la fille de la patronne de la ...

... boutique ?— Oui ! Et, si je te l’offrais sur un plateau ? Tu te laisserais tenter ?— Tu oses me poser ce genre de question ? Rien que ta proposition suffit à me faire bander comme un cerf ! Tu veux vérifier ? J’aurais peut-être aussi la chance de m’occuper un peu de toi ?— Avec plaisir, grand coquin ! Bon… On rentre et sois sage, laisse-moi faire !— OK ! Pas de soucis ! La porte refermée, nous avons rejoint Marjorie. — Marjorie, je te présente Dom ! Tu l’as déjà vu travailler à la boutique de ta mère.— Enchanté, Marjorie ! Je suis un ami de Kris depuis que j’ai monté son enseigne…— Je sais, elle m’a un peu parlé de vous ! Elle m’a dit qu’elle vous aimait bien. Du coup, elle vous a invité à prendre un verre avant que je ne rentre à la maison. Nous nous sommes retrouvés tous les trois dans le petit salon que j’ai fait aménager dans un angle du bureau. Marjorie et moi au creux du canapé, face à Dom qui avait pris place dans un fauteuil. Nous avons trinqué à notre amitié puis avons parlé de choses et d’autres. Surtout de la manière dont j’avais fait la connaissance de Marjorie et que nous avions « dévalisé » la boutique de sa mère. Le regard de Dom glissait sur les cuisses de Marjorie, découvertes par le tissu léger qui avait glissé dans son geste pour s’asseoir. Puis il s’attardait sur mon décolleté, semblant comparer nos poitrines respectives. Nos regards se croisèrent et en riant il remarqua : — Je connaissais déjà une très jolie femme, là j’en découvre une seconde ! C’est mon ...