1. Aventures épiques et galantes d'une déesse sur terre (3)


    Datte: 12/08/2018, Catégories: Lesbienne

    ... fixa avec excitation ses yeux qui luisaient d’un mélange d’émerveillement et d’avidité, puis déposa un baiser sur ses lèvres avant de l’allonger complètement, les jambes pendantes sur le bord du lit. Agyrokomis était prise d’une euphorie qui lui faisait oublier le monde qui l’entourait, son fils, son mari, son statut… comme si la peau et les lèvres de la jeune femme était un népenthès de la même sorte que celui qui effaça les troubles d’Hélène elle-même, avant qu’elle ne parte pour Troie. Nemis se mit à califourchon sur son bassin et se mit à caresser tout son corps de ses deux mains. Son visage, ses seins, ses hanches, son ventre, aucune zone n’était épargnée. Partout où ses doigts allaient, ils réchauffaient la chair de sa maîtresse qui souriait et soupirait de bonheur. Ce prélude terminé, elle s’attarda plus longuement sur ses seins, légèrement tombants mais encore assez fermes. Elle les massa avec soin, les pressant d’abord légèrement puis de manière plus appuyée, titillant ses mamelons en état de grande excitation. Elle les pinça malicieusement ensuite en étudiant les réactions de sa maîtresse, passive et concentrée sur le plaisir qu’elle ressentait. Agyrokomis avait de plus en plus chaud et cette chaleur la faisait fondre, littéralement. Quelques perles de sueur ornaient son front et plus bas d’autres ornaient sa fleur en pleine éclosion. Nemis en recueillit quelques-unes du bout des doigts et les porta à sa bouche, sa proie était à point. Pour la suite des événements, ...
    ... Nemis écarta les cuisses de sa maîtresse et en embrassa l’intérieur. Elle tournait volontairement autour de la zone sensible afin de l’exciter encore plus. Plus elle se rapprochait, plus son sexe se liquéfiait, son jus ruisselant de sa fente jusqu’au lit lui-même où se formait une tache tiède. Agyrokomis était au supplice, ses gémissements ressemblaient aux jappements d’un petit chien réclamant sa nourriture d’un air désespéré. « Prends-moi, je t’en supplie » souffla la mère d’une voix tremblante et rauque. Sans aucune forme de procès, l’esclave inséra deux doigts dans sa fente qui les accueillit sans peine. Ils explorèrent d’abord lentement ce sexe encore hésitant et peu habitué à ce genre d’attention mais plus la cadence s’intensifiait, plus il gagnait en confiance, si bien qu’il réclama vite un autre doigt pour se sustenter. Son clitoris quant à lui se dressa fier et digne, posant triomphalement au sommet de son mont d’Aphrodite. Pour son plus grand plaisir, Nemis n’en fit qu’une bouchée. Suçoter, pincer, mordiller, tout ce qu’une bouche peut faire elle le fit et avec une adresse sans faille qui égalait la dextérité de ses doigts qui dansaient toujours plus vite au rythme des respirations saccadées soulevant la poitrine d’Agyrokomis qui expirait de soupirs en gémissements. La dernière expiration était celle de sa petite mort, une bulle de plaisir qui creva dans un cri libérateur. Toute honte, tout doute, toutes frustrations s’étaient dissipés, Nemis en avait affranchi sa ...