-
La déchéance de Sophie Ch. 01
Datte: 28/07/2017, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur,
... serait capable de me faire. Je m'exécutais et sentis mon short se tendre sur mon postérieur alors que je m'abaissais. Mon tourmenteur bougea alors et vint se positionner derrière moi. Je l'imaginais mater mon cul bien tendu pendant que j'écrivais les mots infâmes. -"Quand tu auras finis, tu descendras ton short sur tes genoux". Son ordre me fit sursauter. Mon Dieu! Il allait abuser de moi ici, au beau milieu de mon salon, en pleine semaine. J'allais me faire violer par un mineur alors qu'à quelques mètres d'ici les gens dans la rue vaquaient à leurs occupations quotidiennes sans rien savoir de mon drame. Je tendis les mains en arrière, ma tête et ma poitrine reposant maintenant sur le carrelage froid. Lentement je fis descendre mon short et dévoilais mes formes à ce pervers. Je n'étais plus rouge. J'étais écarlate. Les larmes de honte roulaient en silence sur mon visage. Je l'entendis soupirer d'excitation. Ma culotte fine dans ma position me rentrait profondément dans les fesses, laissant nus une bonne partie de mes globes. Alors, brusquement, je sentis son pied se poser sur mon dos et exercer une pression. -"AAaAAhhh..aiiiiieee...." Mon visage et mes seins se retrouvèrent écrasés contre le sol et il se mit à bouger d'avant en arrière. Ce salaud se servait presque de moi comme d'une serpillère. Ma poitrine frottait douloureusement, mes tétons étaient au supplice. Soudain à force de mouvements, mon sein droit sortit de son logement et toucha le carrelage à travers le fin ...
... tee-shirt trempé. Alors que j'étais à l'agonie il stoppa son traitement. Cette fois ça y est me dis-je. il va me forcer et je ne pourrais rien faire pour l'en empêcher. Je me préparais résignée à ma dégradation quand au lieu de son sexe se furent ses mains qui s'abattirent furieusement sur ma croupe. il me fessait! Une adulte, j'étais fessée par un ado monstrueux! Jamais on ne m'avait fait subir un tel traitement! Je ne voulais pas lui montrer ma douleur, je me retins le plus possible mais le 5eme coup m'arracha un gémissement, le 7eme un cri. Au 10eme j'hurlais sans m'arrêter. Au fond de moi, je savais ce qu'il voulait. Il m'apprenait ma place, il me faisait sienne. Il voulait que je comprenne bien qu'il était le maître et que je n'étais rien. Il voulait me briser et malgré tous mes efforts il y réussit. Au 17 eme ou 18 eme je ne sais plus, j'abandonnais. -"...AARRGGHHH....JE VOUS EN SUUUUUUPPLIE...JE VOUS EN PRIIIIE...AAHHH...ARREEEEEEEEETEZ...JE FERAIS TOOOOOUT CE QUE VOUS VOUUUUUUDREZ...MONSIEURRRR ...." Les coups cessèrent aussi soudainement qu'ils avaient commencé. Je bavais, mon arrière train me brûlait littéralement, mes seins meurtris n'étaient plus du tout protégés par mon soutif. Je restais de longue minutes ainsi, sans bouger,groggie, attendant le prochain ordre la prochaine punition mais seul le silence m'entourait. Je pris conscience qu'il était parti. Comme ça, sans rien dire ni rien faire de plus. Il avait fait de moi sa chose et m'avait abandonné. Une demi-heure ...