1. D'aventures en aventures, chapitre 3


    Datte: 12/08/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    Je m’appelle Antoine, j’ai vingt-sept ans et je vis depuis trois ans avec Marina. Nous sommes un couple plutôt heureux, seul un détail fait tache dans notre quotidien, il s’agit d’un conflit entre nos parents respectifs. A l’approche des fêtes de Noël, c’est donc tout un casse-tête d’un point de vue organisation. Généralement, le réveillon se fait chez les parents de ma compagne, et le repas de Noël se fait le vingt-cinq au soir. Nous sommes donc le vingt-quatre décembre. Avec Marina, nous embarquons les cadeaux dans le coffre de la voiture, nous préparons nos tenues de soirée puis nous partons. Au bout de trente minutes de route, nous arrivons devant le portail d’une maison bourgeoise, je ne vous fais pas le tour du propriétaire, mais brièvement, je peux vous dire que je n’ai jamais vu ça, hormis dans les films. Lorsque nous arrivons sur le seuil de la porte, son père, Marc, nous accueille avec un grand sourire, il nous fait une accolade, puis nous sommes invités à rejoindre le salon. Dans le même temps, Marina et Nathalie posent les cadeaux au pied du sapin. Nous sommes informés que deux cousins seront présents ainsi que deux tantes et deux oncles. Généralement, je n’aime pas trop ce genre de situation, je passe un peu pour l’intrus de service. Bref, je sors de mes pensées, puis je continue de regarder la télévision qui diffuse un match de foot. Celui-ci captive mon attention, et je profite de ce moment pour évacuer le stress post-réveillon. Il est bientôt dix-huit heures, ...
    ... la sonnette retentit dans la maison, puis je me dirige à l’entrée afin d’accueillir les invités. Je tiens la main de Marina assez nerveusement. Les membres de sa famille nous saluent, et je remarque le côté taquin de l’un de ses cousins lorsque celui-ci prend ma compagne par la taille afin de lui faire la bise. Cette approche a tendance à m’énerver un peu, mais on me dit de ne pas me soucier de ce genre de choses. Les invités sont conviés à mettre leurs affaires dans les chambres d’ami. Puis chacun vaque à ses occupations, personnellement, je vais me prendre une bonne douche, puis me mettre en tenue de soirée histoire d’être tranquille. Au bout d’une demi-heure, je pars en direction de la chambre, mais j’entends rire aux éclats. Je reconnais l’intonation de la voix de Marina, je m’approche, et je vois ses deux cousins lui faire des chatouilles. Seul détail qui me fâche, c’est la robe de ma compagne, je me doute bien que ces deux lascars vont en profiter pour glisser une ou deux mains audacieuses. Je reste donc en retrait pour observer ce jeu disons-le d’enfants. Dans le battant de la porte, je vois bien le lit. À partir du moment où les chatouilles se situaient sous les pieds, sous les bras ou dans le cou, ça ne me faisait ni chaud, ni froid, pas besoin de faire un scandale. Mais je sens bien que le jeu prend une autre tournure. L’un des cousins qui s’appelle Jean ose mettre sa main dans le décolleté de Marina. Celle-ci ne l’enlève pas pour autant, au contraire, elle semble ...
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