Délire andalou (2)
Datte: 13/08/2018,
Catégories:
fh,
hotel,
strip,
massage,
... tard, je dors ! Sommeil réparateur ! Etat douillet et comateux ! Nuages blancs et roses où tu es nue, Laura, et joues à cache-cache avec moi en tenant ta petite culotte à la main…. J’emporte la culotte dans le vide sidéral de l’inconscient. Lorsque j’en émerge à nouveau, tu es nue allongée sur ce lit, dans cette chambre, et ma langue te lèche lentement du haut de ta raie du cul jusqu’à ta nuque. Allant et venant ! Remontant et descendant ! Décrivant des cercles autour de ton opulente poitrine. Ma tête est perdue dans les étoiles. Je dévore du regard tes yeux clos et écoute ton souffle qui s’accélère petit à petit ! Ma langue décrit de lentes spirales autour de ton sein droit, mon préféré, pour finir sur ton téton… Au début tu es surprise… et puis tu comprends vite les sensations toutes nouvelles que te procure cette caresse ! Ma langue passe d’un sein à l’autre… Les minutes passent, ta respiration est de plus en plus accélérée… mais tu es hypnotisée par ce nouveau plaisir. Parfois je mordille tendrement le bout de ton téton. Habituellement tu n’aimes pas ça, mais une nouvelle frontière dans tes réserves d’excitation a été franchie, et chaque petit coup de dent te donne un frisson rempli de plaisir… Peux-t-on avoir un orgasme seulement par les seins ? Tu vas le savoir bientôt. Tu aimes aussi lorsque je m’assois sur toi qui es désormais à plat dos, et que mes mains entreprennent de te masser les seins comme s’ils étaient une pâte de boulanger que l’on pétrit. Je ne me lasse ...
... pas de te les masser. Je ne me lasse pas de t’entendre gémir. De t’entendre m’implorer en pensée que mon sexe en érection dont tu sens la cambrure contre ton ventre, te pénètre immédiatement, au moins une ou deux fois, juste pour éteindre partiellement le feu qui est en toi. Non ! Tu vas souffrir ! Tu attendras longtemps, très longtemps. Tu devras me supplier, m’implorer, me haïr… Et pour toute réponse tu n’auras que mon sourire et de nouvelles caresses qui transformeront ton plaisir simple en agonie… Lorsque je sens que ton corps va exulter, j’arrête de te caresser… D’un côté, tu comprends que je recherche à te faire passer derrière la vitre du plaisir simple et tu veux voir ce qu’il y a derrière… De l’autre, tu n’as pas l’habitude qu’on t’inflige une telle torture… Car c’est une torture que celle de languir, de mendier que le glaive se porte en toi et que surgisse enfin la lumière. Tu aimes et tu détestes la torture. À un moment tu te mets à pleurer. Ton corps est agité de tremblements. Tu m’insultes avec tendresse. Tu me frappes et tu me griffes et j’aime ça ! Cela fait partie de notre guerre du plaisir suprême… qui est surtout ton plaisir ! Je te dis des mots orduriers qui te heurtent et t’enchantent en même temps. Ta respiration est très saccadée ! Tu gémis et tu cries. Tu transpires aussi et je viens régulièrement boire tes gouttes de sueur. Tes seins sont vraiment très fermes maintenant, tellement qu’ils te feraient mal, si tu n’avais pas dépassé le stade de la douleur. ...