1. Quand on tire le diable par la queue (3)


    Datte: 13/08/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    ... sa pisse depuis ce matin pour m’inonder. Je ne peux plus avaler, mais c’est vraiment pas mauvais, un peu salé, cela me rappelle qu’à midi, elle m’a dit d’avoir mangé des asperges, c’est vraiment ça. Voila, la source se tarit, je vais pouvoir lui remettre un petit coup de queue et après dodo, je suis vraiment un peu trop crevé avec toutes ces femelles qui m’essorent les couilles. – Demain, ton mari rentre demain, il faudra que je déménage ma brosse à dents et mon pyjama. – Eh ! Oui, les vacances sont finies, je pense que tu as bien rempli ton contrat. J’ai eu envie de vomir cet après midi, – C’est pas un peu tôt ? – C’est peut-être les asperges avec la mayonnaise pas trop fraîche ? – J’ai rien remarqué quand je t’ai bue. – Cela a été peut-être été filtré. – Bon on y va, je suis un peu fatigué avec cette suite de baises effrénées, après le radada, j’aimerai bien dormir pour remettre une dernière fois demain matin avant d’aller travailler. – Si tu es comme cela fatigué, on peut dormir tout de suite. Je ne suis pas une ogresse, surtout si tu me promets que le réveil sera chaud. Le lendemain, après une bonne nuit de sommeil, Jasmine se réveille en premier à 5heures et demi, je vais faire deux cafés pour se mettre en forme. Revenant dans la chambre, elle voit que Jean est aussi réveillé et la regarde avec des yeux tout amoureux. – Cela te fait plaisir ? – Oui, tu es un amour. – Plus que Martine ? – Différemment, avec Rita, vous êtes les trois femmes que j’aime le mieux. – Quand tu ...
    ... vas tomber sur une petite jeune, tu vas nous envoyer aux pives, se plaint-elle. – Non, je ne pourrais pas vous oublier, surtout que deux d’entre vous portent mes enfants et ma mère c’est tout simplement impensables, il faudra bien qu’elle accepte la situation et éventuellement partager. – Cela me réchauffe le coeur de penser que notre aventure n’est pas terminée avec l’insémination. – Ouvres tes cuisses que je puisse prendre le complément du café, je ne pourrai pas me passer longtemps de ta cyprine, c’est la meilleure que j’ai jamais dégusté. J’aime ton odeur et goût de rousse et je suis un peu triste que tu aies teint tes cheveux, j’aimerai te voir avec tes vrais cheveux, longs et soyeux. Cela doit être encore plus beau. – Je te promets que je vais les reteindre dans leur couleur naturelle et ne plus les teindre par la suite. – Merci, dit-il en promenant sa langue sur toute la longueur de l’entre-jambe du pistil au trou du cul. Comment cela te fait quand je te suce le troufion. – C’est horriblement cochon, mais tu ne me mettras pas ta queue dedans tant que je n’ai pas la preuve que je suis en cloque. – Il n’en était pas proposition, juste pour voir si tu aimes. – Oui, cela m’excite fortement, maintenant, viens, prends moi. Je restes sur le dos pour pouvoir récolter encore de ta semence bien profond. Tant pis si tu parts trop vite, je sais que si c’est moi qui suis dessus, cela dure plus longtemps, mais je veux vraiment ne perdre aucune possibilité. Quelques temps plus tard, ...