Comment ma femme s'est dévergondée (7)
Datte: 13/08/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
... dans les toilettes. Le bouchon entre les dents, je ne peux même pas répondre. — Au lit, désormais, tu ne couches plus nu. Tu mettras un pyjama. Et nous allons te choisir avec Sandra des pyjamas de pépés qui sont de véritables "tue l’amour" ! Avec ça sur toi, ca va calmer tes ardeurs. De plus, je veux que tu portes un slip sous le pantalon de pyjama. — Au lit, toujours, interdiction de toucher et de te coller à Sandra. Tu l’oublies. Si tu la touches, même par inadvertance, tu seras puni. — Tu vas prendre également l’habitude de la vouvoyer, et tu l’appelleras "Mademoiselle". — Tu vas prendre aussi l’intégralité des tâches ménagères à ton compte : tu feras les courses et la cuisine, le ménage, la vaisselle, la lessive, et tu laveras même les petites culottes à Sandra, à la main. Il se lève, viens vers moi, enlève le bouchon d’entre mes dents. — Tu as quelque chose à dire, cocu ? — Salaud…Salaud…. — Est-ce que tu as tout compris ? Je fais "oui" de la tête. — Très bien ! Je continue donc. Il me remet le bouchon entre les dents et va s’asseoir. — Plus tard, Sandra, en plus de moi qui suis désormais son amant régulier, connaîtra d’autres mecs. Elle pourra se faire baiser dehors, ou même découcher, mais certains soirs, ils pourront venir baiser chez vous. Donc, tu les recevras de façon très cordiale, leur offrant l’apéritif, puis tu laisseras Sandra s’envoyer en l’air. Interdiction de dire quoique ce soit ou pire d’aller mater ! Quand les ébats seront terminés, tu pourras offrir ...
... le champagne, et surtout, ne jamais oublier de remercier le mec d’avoir baisé ta femme, c’est très important ! Si tu oublies je te garantis une punition dont tu te rappelleras ! Il vient me retirer le bouchon. — Alors ? — Oui…oui…j’ai compris… — Très bien ! Tu vois, Sandra, il commence à accepter la situation, c’est bien ! Sandra se lève alors. Vient vers moi, la flûte de Champagne à la main. L’air très "chatte". Elle tire sur les ficelles des pinces que j’ai aux seins. Je crie. Puis elle verse doucement sa flûte de Champagne sur mon sexe. — Humm…Chéri, il m’excite, attaché, comme ça, soumis, avec ses pinces partout… Une vraie salope !! — Tu as raison, ma puce ! Ton cocu de mari est une vraie salope qui s’ignore ! On va travailler ça aussi ! Ils éclatent de rire. Ils mangent sur la terrasse. Moi toujours nu, entravé et exhibé. Au bout d’un moment, Sandra me regarde et dit à Daniel. — Tu vois, amour, quand je le vois comme ça, c’est vraiment dommage que tu n’aies pas une cravache… Il me donne des idées et des envies… — Ah oui ? Vraiment ? Tu aimerais t’occuper de lui comme ça, Puce ? — Oui, vraiment !!!! Je crois que j’en ai envie !! — Eh bien on va voir ça… Demain je vais au magasin d’équitation et je te ramène une belle cravache pour notre soumise !! — Merci amour. Je crois que ça va beaucoup l’aider à devenir très très très obéissante ! Ils en sont au dessert. Il se lève. Viens vers moi. Enlève les pinces à linge de mon sexe, mes couilles. Je sursaute. Puis il enlève la ...