1. Un bel anniversaire (3)


    Datte: 15/08/2018, Catégories: Inceste / Tabou

    –Nous sommes donc d’accord –Allez vous assoir sur le divan, papa au bout à gauche, Henri, Michel, Paul et Pierre. Ils s’assoient en rang d’oignons. Je les ai assis par volume de gland, je veux aller des plus petits aux plus gros. –Restez là. Je vais chercher le champagne, en débouche une bouteille et viens m’allonger sur la table basse. Je fais couler un peu de champagne sur mon corps. –Il faudrait venir récupérer ce champagne, se serait du gaspillage de le laisser couler sur la table. Tout le monde se précipite sur moi, un sur mon ventre, un sur un sein, un sur l’autre, un sur mon cou et mon père sur mon pubis. Je fais couler de temps en temps un peu de champagne sur tout mon corps, les langues me lèchent la totalité de la surface de ma peau accessible. Une en particulier qui me titille les lèvres intimes et le clitoris. Toutes ces langues sur moi me rendent folle et je jouis dans un grand feu d’artifice. Mon corps est secoué de spasmes. Quand je me calme, ils sont tous debout à me regarder, mais leurs bites sont toujours à la verticale. Je me lève et viens embrasser mon père. Je me plaque contre lui, sa bite touche mon mont de Vénus, mes seins s’écrasent sur son torse, nos langues se chamaillent, s’aiment, ses mains parcourent mon corps et s’attardent sur mes fesses. Je descends une main vers sa bite pour la présenter entre mes lèvres. –Chérie, qu’est-ce que tu fais. –Je veux que tu me fasses l’amour, je veux sentir ton sexe au fond de mon sexe. Il ne dit rien, j’ouvre un ...
    ... peu mes cuisses, me saisis de sa bite et la dirige vers mon puit d’amour. Il donne un léger coup de rein et s’enfonce d’un seul coup de toute la longueur de sa bite. Je sens son énorme gland me parcourir le vagin d’un bout à l’autre. Il me pistonne lentement mais profondément. D’autres mains viennent me caresser le dos, les fesses, les seins, je ne sais pas qui c’est, mais excitée comme je suis, je jouis en quelques minutes. Papa n’as pas joui encore, il a une sacrée résistance. Je me libère pose furtivement mes lèvres sur les siennes. –Merci mon papa chéri. Je vais prendre une grande couverture que j’étale sur le tapis déjà bien épais. Je prends Paul par la main et l’allonge sur le dos, sa bite est toujours raide. Je fais de même avec Pierre. Mes deux frères sont allongés côte à côte la bite bien droite. Je viens chevaucher Paul, je suis au-dessus de sa bite, les cuisses grandes ouvertes et luisante de cyprine. Je me saisis de sa bite, la dirige vers ma vulve et me laisse descendre dessus. Je m’empale d’un seul trait. Je monte et descend sur ce vit vigoureux. Au bout d’un petit instant, je me libère de Paul, chevauche Pierre et recommence le manège. Quelques instant plus tard, je retourne à Paul. J’alterne jusqu’à ce que je jouisse sur Pierre. Ils n’ont pas joui, ni l’un ni l’autre, c’est ce que j’espérais. Maintenant que tous m’ont fait au moins une fois l’amour, je décide de passer à la dernière phase. Je m’allonge sur le dos sur la couverture les jambes grandes ouvertes, ...
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