1. Sabine et Gabrielle


    Datte: 28/07/2017, Catégories: Lesbienne Première fois Voyeur / Exhib / Nudisme

    Sabine rentre du travail.Tranquille, elle dévêt son corps émouvant de roseurs et de rondeurs généreuses.Ce qui séduit, c'est justement que rien n'est provoquant dans sa manière d'être.Chacun de ses gestes envoûte.Le balancement fascinant de sa jambe qui abandonne une petite pièce de tissu que l'on nomme culotte est poignant au point d'émoustiller la nuit même dans son indifférence.Ensorcelante, elle pourrait tout vouloir, et ne veut rien, justement.Sa nudité complète est gratuite.Elle se promène nue dans sa maison, dans son jardin qu'elle habite de toutes ses courbures féminines.Ses parfums enjôleurs se mêlent à ceux des rosiers grimpants qu'elle taille au sécateur dont les lames claquent dans l'après-midi d'été comme des coups de tonnerre annonçant un orage charnel.Croise-t-elle un voisine qui entretient sa haie ou ses arbres fruitiers : elle la salue aimablement, et lui souhaite une bonne journée, et reçoit en échange un plein panier de cerises très mûres qu'elle dévore immédiatement, en guise de repas, sans se soucier du jus qui s'écoule sur ses cuisses en ressemblant aux liqueurs menstruelles qu'elle abandonne aussi, sans chercher à le retenir.Elle pourrait tout vouloir, et ne veut rien, justement.Une adolescente sonne à sa porte. Elle vient lui apporter un colis, vêtue d'un uniforme gris clair dont l'aspect austère contredit le sourire de la jouvencelle.Sabine ne prend pas la peine de couvrir sa nudité pour aller lui ouvrir.Ses lèvres sont entourées du jus obscur des ...
    ... cerises.La livreuse est ébahie par cette créature qui ressemble à une statue de jardin public, sauf que sa chair est frémissante de vie, sauf que la poitrine, inspirée par l'été, palpite de désir.La minute est sensuelle. Les regards féminins se croisent. Ils s'interrogent.Elles s'approchent, ne sont plus qu'à cinquante centimètres l'une de l'autre. Gabrielle - ainsi se prénomme la jeune messagère - sent un puissant spasme saisir son bas-ventre. Elle cligne des yeux pour vérifier qu'elle ne rêve pas.Interloquée, elle n'ose rien dire. Les mots ne sont de toute manière pas utiles.Le vent se lève et soulève les cheveux fous. Elles sont en pleine visibilité depuis la rue, mais s'en moquent. Chacune fait un pas vers l'autre. Les voici enlacées. Gabrielle pleure ; elle voulait de l'amour et de la tendresse, elle attendait cela, et voilà que le hasard lui offre cette incroyable personne complètement dénudée qui semblait n'attendre qu'elle.Tandis que les lèvres se touchent, les mains de Sabine explorent le dos sous l'uniforme, le long de la colonne vertébrale, puis le coccyx et les fesses.Des passants s'arrêtent pour les regarder, intrigués, puis excités par cet impudique spectacle. Jeune ou vieux, nul n'ose protester ou crier au scandale. La grâce n'appelle que l'émerveillement.Doucement, Sabine déshabille Gabrielle, bouton après bouton, tissu après tissu.Le crochet du soutien-gorge, lorsqu'il se défait, dévoile de ravissants petits seins tout blancs et tendus. Dans l'énervement du ...
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