Les joies du shopping
Datte: 15/08/2018,
Catégories:
fh,
fplusag,
jeunes,
inconnu,
parking,
Oral
préservati,
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
occasion,
lieuxpubl,
... réagir et quand je me levai, un trouble régnait entre nous. Elle décida d’y mettre fin. — Écoutez, je vous remercie, c’était très gentil de votre part. Un vendeur vient de se libérer, je vais finir avec lui.— Mais il n’y pas de quoi, ce fut un plaisir et j’espère avoir pu vous aider, lui répondis-je un peu blasé que la discussion tourne si court. Je lui tendis la main en guise d’au revoir. Elle me la saisit et la serra avec un sourire et un regard plein d’envie, ce qui acheva de me troubler. Un dernier coup d’œil à ses seins et je m’éloignai d’elle. Après un dernier coup d’œil à ma petite vendeuse blonde, je quittai sur-le-champ le magasin. J’ai traîné une demi-heure dans d’autres magasins de la zone commerciale et, une fois mes achats faits, je me dirigeai vers le parking souterrain où était garée ma voiture. J’allais arriver à celle-ci quand, à quelques mètres de moi, je vis ma charmante inconnue en train de ranger ses courses dans le coffre d’une Peugeot rouge vif. Elle était penchée en avant et ses fesses rebondies me semblaient encore plus belles que dans le magasin. Encore frustré par la tournure des évènements et passablement excité, je me dirigeai vers elle. Tout en m’approchant, j’observai tout à loisir ses jambes et son postérieur, qu’elle offrait sans le vouloir à mes yeux alléchés. Je ne savais pourquoi, mais quelque chose me poussait à aller lui reparler. Était-ce ce sourire si ambigu quand je lui ai dit au revoir ? Ou bien cette tenue si excitante ? Ou tout ...
... simplement le fait que j’avais envie de la baiser ? J’arrivais à deux mètres d’elle quand elle referma son coffre et se retourna. Surprise, elle poussa un cri, mais bien vite la stupeur s’effaça sur son visage pour laisser place à un large sourire et à des yeux malicieux. — Eh bien, comme on se retrouve !— Je suis désolé, je ne voulais pas vous faire peur.— Ce n’est rien, je sursaute d’un rien, me répondit-elle en enlevant son manteau. J’avais alors tout son corps pour mes yeux ; sa jupe me parut encore plus courte que dans le magasin et ses seins m’apparurent dans toute leur splendeur, tendant son chemisier légèrement déboutonné. Je me tenais à côté de la porte conducteur et avec un grand sourire, elle me demanda de me pousser légèrement ; galamment, je lui ouvris la portière. — Merci beaucoup, décidément vous êtes fort aimable, me remercia-t-elle en me gratifiant à nouveau d’un large sourire.— Mais de rien, répondis-je. Dans ma tête, je ne pus m’empêcher d’ajouter : — Et toi, tu es fort baisable… Elle se pencha à nouveau en avant, encore plus que devant le coffre, pour ranger son sac à main sur le siège passager et son manteau sur les sièges arrière. Alors qu’elle rangeait je ne sais quoi dans son sac, il n’y avait plus que ses fesses et ses jambes qui sortaient de l’habitacle. Mais quelle vision ! Ses fesses fermes et rebondies étaient admirablement moulées par sa courte jupe et le tracé d’un petit string me sautait aux yeux. Sa jupe remontait tellement que je voyais non ...