1. Les joies du shopping


    Datte: 15/08/2018, Catégories: fh, fplusag, jeunes, inconnu, parking, Oral préservati, pénétratio, fdanus, fsodo, occasion, lieuxpubl,

    ... cuisses fermes. Quant à elle, elle me griffait plus qu’elle ne me caressait le dos au travers de ma chemise. Elle voulait du sexe viril, elle allait être servie ! Je la basculai en avant sur le capot et commençai à déboutonner son chemisier. Puis arrivé à la moitié, je le déchirai d’un coup, faisant sauter les boutons encore en place. Cela lui arracha un petit cri de surprise, mais bien vite un sourire incitateur me demanda de continuer. J’avais sous mes yeux ses deux obus, encore prisonniers d’un magnifique soutien-gorge jaune pâle en dentelle. Je pris ses deux seins à pleine main et les pétris fortement. Je sortis ses tétons durcis du soutien-gorge et les fis rouler sous mes doigts puis les mordis assez brutalement, je dois l’avouer. Mais elle aimait cela ; elle soupirait à chaque fois que j’effleurais ces parties si érogènes de son anatomie et criait même quand je les brutalisais un peu. Puis une de mes mains remonta sa jupe pour découvrir un joli string jaune lui aussi, complément du soutien-gorge, ainsi que le porte-jarretelles dont la vision m’avait tant excité peu de temps avant. Je caressai lentement le tissu de son string et je m’aperçus qu’il était trempé. Je l’écartai donc pour découvrir un sexe entièrement rasé et déjà un peu ouvert. Je glissai vite un doigt puis deux dans sa fente ruisselante tandis que mon pouce titillait son clitoris. Elle voulut m’empêcher de glisser un troisième doigt, mais je ne l’écoutai pas. Le passage fut plus difficile que pour les deux ...
    ... premiers mais elle mouillait tellement que je le pus, ce qui lui tira un nouveau cri où se mêlait plaisir et douleur. Je lui fouillai donc la chatte avec trois doigts, alors que ma main gauche continuait à malaxer ses seins. Elle acceptait ce traitement, totalement offerte à moi, exprimant largement son plaisir. Puis, retirant ma main, je lui tirai le bassin pour la faire descendre du capot. Elle comprit immédiatement et s’agenouilla devant moi. Défaisant mon pantalon, elle libéra mon sexe de sa prison et se retrouva avec ma bite juste devant les yeux. Telle une morte de faim, elle se rua sur ma queue pour l’avaler goulûment. Elle ne prenait pas le temps de bien lécher toutes les parties de ma bite et se contentait d’avaler férocement mon gland, alors que sa main branlait la base de ma bite. Rapidement, mes mains se posèrent sur sa tête et je lui imprimai le rythme que je souhaitais. J’ai toujours adoré qu’une fille avale complètement ma bite et j’en profitais avec ma compagne. Je lui bloquai la tête quand elle tenait une grande partie de mon membre en bouche. Même si elle tira au cœur, elle ne dit rien et continua à me sucer avec une grande conscience professionnelle, si j’ose dire. C’était loin d’être une des meilleures pipes que l’on m’avait faites mais la voir agenouillée devant moi dans ce parking, en train de dévorer mon organe, m’excitait assez. Au bout d’un moment, je lui retirai la tête de mon entrejambe : — Là, dans ma poche, prends… Elle trouva facilement la capote ...
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