1. Douceur aérienne


    Datte: 28/07/2017, Catégories: fh, avion, volupté, odeurs, intermast,

    ... compagnon depuis quelques mois. Cette main baladeuse ne s’était pas introduite dans la jambe de mon bermuda comme je l’avais craint (ou espéré !) mais avait continué son mouvement su le tissus. Elle était maintenant au creux de l’aine et y restait immobile. Cette fois mon érection était pratiquement complète…. Nous sommes restés assez longtemps ainsi et puis, cette main s’est enhardie et s’est carrément mise sur mon entre jambes, plaquée comme pour en évaluer le contenu. C’était maintenant un point de non retour ! Notre copine ne pouvait ignorer la forme dressée et dure de ma verge. Cette main s’est maintenant dotée d’une vie propre et malaxe doucement cette masse de chair, en épousant les contours, en soupesant le poids et en estimant la rigidité. Vite un regard à droite… ma compagne est toujours dans les bras de Morphée. Vite un regard à gauche… notre copine caresseuse a toujours les yeux fermés et dort, semble-t-il. Sa main sur mon sexe est bien cachée aux éventuels passagers circulant dans la travée centrale puisque ma tablette de siège est abaissée. Pour faciliter le contact, je me suis un peu descendu sur le siège et j’ai ouvert les cuisses. Cette caresse interdite était délicieuse, peut-être parce que dangereuse !! Cette main est remontée jusqu’à ma ceinture, abandonnant pour un moment l’objet de son attention et, avec dextérité elle à défait mon bermuda et abaisser la fermeture éclair. Et puis… elle s’est introduite sous mon bermuda, sur mon caleçon….continuant ses ...
    ... mouvements mi d’exploration, mi de caresses. À chaque changement de position, il se passait de longues minutes, ma voisine prenant tout son temps… la nuit aérienne était à nous.. ; Lorsque cette main s’est glissée sous mon caleçon et en a fait jaillir ma verge dressée, j’ai cru exploser. Cette paume chaude entourant ma tige, en décalotté le gland d’un tour de main habile et puis s’en est allée se promener avec la douceur d’un papillon. Cette main mise en corolle coiffait le gland, cette main suivait le tracé des veines sur la surface de ma verge, cette main serrait ma chair en un captivant mouvement de va-et-vient, cette main avait fait ressortir mes bourses et s’en délectait, jouant dans ma toison et puis revenait au sommet de ma hampe pour, d’un doigt fureteur s’emparer d’une petite goutte qui perlait au bord du méat et puis retour au mouvement de va-et-vient. Ma connaissance de la masturbation était grande car soit en solitaire soit en duo féminin j’avais des quantités de fois eu ainsi un plaisir manuellement intense et violent. Mais ceci dépassait tous mes souvenirs, tant par le caractère inédit et trouble de la situation que par la véritable science érotique de celle qui me prodiguait ce traitement de faveur… c’était hors norme. Je n’osais gémir de plaisir par crainte de réveiller ma compagne et je serrais les dents lorsque, au contraire, j’aurais voulu hurler. Notre copine continuait à s’occuper de ma verge comme si elle n’avait que cela toute sa vie, virevoltant d’un ...