Edouard
Datte: 15/08/2018,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
boitenuit,
fête,
amour,
Oral
légumes,
préservati,
pénétratio,
... en route le lave vaisselle. Il s’approcha de moi en me complimentant sur mes qualités d’hôtesse. Mon cœur battait à mille à l’heure. J’étais scotchée. Il était tout près de moi. Il passa un doigt sur mes lèvres en me murmurant à l’oreille qu’il se demandait jusqu’où s’étendaient ces qualités. Son doigt descendit le long de ma joue, de mon cou, dans mon décolleté, dessina le contour de mon soutien-gorge. Je sentais mes seins durcir tandis qu’il m’embrassait dans le cou. Il me murmura encore que les autres allaient se demander ce qui se passait et il s’en alla comme ça… J’étais liquéfiée ! Quand je retournai dans le séjour, ils avaient tous décidé qu’on finirait la nuit dans un bar dansant. Nous partîmes à trois voitures. J’étais dans celle d’Edouard avec un autre collègue. J’étais assise derrière. Il me fixa à plusieurs reprises dans le rétroviseur pendant le trajet. Je me sentais toute petite. L’ambiance dans le bar était à son comble, musique latine, il était 2 heures du matin. Nous étions tous serrés les uns contre les autres près du bar. Je sentis la main d’Edouard caresser ma main, mon avant-bras. Puis je le perdis et tout à coup je le sentis derrière moi alors que je dansais. Une main s’est posée sur mon ventre, sous mon chemisier, elle était chaude. Il m’a serrée contre lui. Son bas-ventre s’est posé sur mes reins. J’ai senti son sexe dur contre mes fesses. Nos bassins se sont mis à bouger au rythme de la musique. L’alcool, la musique, la fumée, c’était enivrant. Puis ...
... je me suis retournée, je lui ai donné ma bouche, mes lèvres … il les a prises. On s’est embrassés, nos langues se sont caressées. J’ai adoré le goût de sa bouche. J’étais amoureuse. Mes mains se sont glissées sous son pull, j’ai caressé sa taille, le bas de son dos. Il m’a murmuré que j’étais belle, que je l’excitais. Jusqu’à 5 heures du matin, on a dansé, on s’est caressé, on s’est embrassé. Il dansait très bien, c’était très sensuel. À certains moment, il glissait une jambe entre les miennes et frottait sa cuisse contre mon entrejambe. Je mouillais comme une folle. Quand on est partis, le copain qu’Edouard avait amené dans sa voiture a eu la délicatesse de nous laisser tous les deux. Edouard m’a donc ramené chez moi. Mais alors que je croyais qu’il allait monter, il m’a dit qu’il devait partir de bonne heure voir son frère. Il m’a laissée seule en m’embrassant et en me disant qu’il m’appellerait dans la soirée. J’étais déçue. Mais en même temps, j’étais claquée. Je suis allée directement me coucher, amoureuse. Je me suis réveillée vers 14 heures. J’ai attendu avec impatience son coup de fil. Vers 21 heures, persuadée de ne plus avoir de ses nouvelles, j’ai commencé à me préparer à manger. Dix minutes plus tard, le téléphone sonnait. Il était en bas et me demandait s’il pouvait monter. Bien sûr, j’acceptai. Deux minutes plus tard, il sonnait. J’ouvris, je ne savais que dire. Il m’embrassa sur les lèvres en me tendant un bouquet de fleurs. Je bredouillai « merci, je vais tous ...