Le dossier Dupuis
Datte: 16/08/2018,
Catégories:
Entre-nous,
Les femmes,
... corps reste pétrifié. Je libère sa bouche, elle est toujours figée. Je le prends par la taille, la fait tourner et me mets en face d’elle, pour l’embrasser à nouveau, cette fois sans me tordre le cou. Ca a pour effet de la faire enfin réagir. Son corps raide semble se détendre. De son côté le baiser devient également actif. Elle colle ses lèvres aux miennes, pénètre sa langue dans ma bouche, la retire, s’écarte légèrement pour s’adosser au bord du bureau, Son rouge à lèvre rouge vif s’est étalé autour de ses lèvres par l’effet du baiser passionné que nous venons d’échanger. Elle a dû m’en coller partout aussi autour de la bouche. Mon rose à lèvre pâle ne fait pas le poids par rapport à son rouge vif. - Qu’est-ce que je fais …. Me dit-elle en s’écartant tout rouge, Mais qu’est-ce que je fais !!! Excusez-moi Laetitia, quelle honte. Excusez mon comportement !! - Ah tais-toi net viens là, lui dis-je en l’attirant vers moi à nouveau. Tu en meurs d’envie depuis une heure. Moi aussi d’ailleurs, j’en meurs d’envie … Profites donc au lieu de te poser mille questions inutiles … - Oui mais … - Chuuuttt …. Les femmes t’attirent, tu en as une sous la main … Une femme qui a envie de toi en plus ! Mes mots la libère. Elle m’attire contre elle et colle à nouveau sa langue dans ma bouche. Elle me sert contre elle. Je dois faire minuscule entre ses bras. J’ai au moins 15 centimètres de moins, je suis deux fois moins large, je dois disparaitre littéralement. Ses mains toutes excitées passent ...
... sur mon corps, mes hanches, mon ventre, mes fesses. Ses mouvements sont brusques, guidées par la tension qui l’anime. En fait elle me pelote partout en poussant de gros soupirs, entre deux tours de langue. Elle m’a écartée légèrement, lâchant t enfin ma bouche (je respire goulûment du coup, j’allais manquer d’air), pour glisser sa main dans mon décolleté à la recherche de ma poitrine qu’elle a tant regardé tout à l’heure. De mon côté j’ai plaqué mes mains sur ses cuisses et j’essaie sans trop de succès de remonter sa jupe trop sérrée. Cette fois, elle se lâche Anne-Sophie. Et dans l’état où elle est, ça va faire mal ! - N’arrache pas tout quand même, j’y tiens à ce chemisier, lui dis-je alors qu’elle déboutonne fébrilement le vêtement. - Mais qu’est-ce que je suis en train de faire !!! continue-t-elle sans s’arrêter. - Tu es en train de me déshabiller … Moi, j’ai enfin réussi à remonter sa jupe sur ses fesses et à découvrir ses cuisses entièrement. J’avais raison. Ses cuisses sont fermes. Larges, mais fermes. Un peu de cellulite, certes, mais en tout cas, c’est loin d’être laid. Je m’occupe de ses fesses maintenant. Mes mains sont dessus. J’ai enfoncé mes ongles dans les collants que j’ai déchirés. Sous le coup de la griffure, elle lâche un gémissement. Elle me retourne et me colle contre le bureau. J’ai les fesses en suspend sur le bord du plateau. Anne-Sophie a poussé largement mon spencer et mon chemisier maintenant entièrement déboutonné vers l’arrière, découvrant ainsi mes ...