1. À Pigalle


    Datte: 17/08/2018, Catégories: fh, hplusag, couple, cadeau, grossexe, hotel, fsoumise, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation fgode, préservati, pénétratio, double, fsodo, jouet, journal,

    Je m’appelle Karine, 26 ans, brune, 1,76 m. Bien coincée à l’époque de mon mariage, Pierre, mon cher époux a su faire tomber tous mes tabous. Il n’est jamais à court d’idées pour pimenter notre vie sexuelle comme vous allez voir. Messieurs, sachez que votre sage épouse fantasme sûrement autant que moi. Elle peut rêver d’une étreinte furtive avec un inconnu croisé dans la rue ou de se retrouver dans les bras de George Clooney (Plutôt Brad Pitt, dans mon cas). Elle peut aussi imaginer avoir plusieurs hommes à sa disposition, vendre ses charmes ou faire l’amour avec une autre femme. Ne vous inquiétez pas. C’est le signe d’une bonne libido. Si vous connaissez ses fantasmes, vous avez la clé pour lui faire vivre des moments de folie dont vous serez le grand bénéficiaire. Voici la soirée « border line » que mon chéri m’a concoctée un soir d’avril 2009. Rien qu’à la raconter, j’ai la chatte qui se liquéfie. PIGALLE Samedi -minuit. Je traverse le boulevard de Clichy dans la tenue d’une fille qui gagne sa vie avec son cul. Je balise. Pourvu que je ne croise personne de connu. Heureusement, je suis méconnaissable. Le coiffeur m’a posé une perruque composée de dreadlocks synthétiques blonds et j’étrenne des lentilles de contact bleues portées avec des faux cils démesurés. Comme elles ne sont pas corrigées, au delà de quelques mètres, c’est le flou total. Je me suis arrosée d’un parfum capiteux, badigeonnée avec du rouge à lèvres cerise pour me donner les lèvres pulpeuses d’une suceuse ...
    ... patentée, et j’ai dû revoir toutes mes notions de maquillage car celui d’une tapineuse aux yeux bleus n’a rien à voir avec celui d’une brunette BCBG. Ma tenue ? Je me pèle les fesses car je déambule affublée d’une mini-jupe en lycra noir, ras la touffe et d’un string genre ficelle. Heureusement en haut, je porte une veste assez chaude sur un petit débardeur. Je marche avec des bottes en plastique rouge à semelles compensées qui me font horriblement mal aux pieds. Que fais-je ici ? C’est simple. Depuis mon aventure sur les Champs(voir épisode 12 de mon journal), je suis de temps en temps abonnée à des rêves érotiques inavouables. L’aventure (pardonnée) de mon mari avec une jeune chinoise dans un Grand Hôtel de Shanghai(épisode 14) n’a pas arrangé les choses. Je fantasme de me retrouver dans la peau d’une escort-girl soumise aux caprices sexuels de princes Arabes ou de milliardaires Russes. C’est un progrès par rapport à l’époque où je me retrouvais dans des caves d’HLM, victime d’une tournante, mais pas pour mon cher mari. Me faire violer à mon corps défendant par une bande de loubards, cela passait, mais que j’aille volontairement me faire sauter dans des Palaces, ça le gratte. J’essaye de lui expliquer que je ne suis pas responsable de mes rêves. Peine perdue. — C’est grave, Karine. Cela montre des besoins sexuels insatisfaits, déplore-t-il.— Mais non ! C’est juste le signe d’une bonne libido.— Inconsciemment, tu as envie de baiser avec d’autres, tu ne peux pas le nier.— Ne ...
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