1. Réveillon


    Datte: 17/08/2018, Catégories: fhh, couple, extraoffre, cocus, inconnu, fête, rasage, Oral

    ... c’est ce qu’il veut… » Je remonte un peu le bas de ma robe façon mini-jupe. Je glisse un instant les doigts le long de mon chaton, en tâte l’humidité, en constate l’excitation brûlante. Je tire sur le décolleté, de manière à ce que mon soutif se voie davantage, et que le galbe de mes seins soit plus prononcé. Je pousse la porte de la cuisine. Ils m’attendent. — Ces Messieurs sont servis. Je tends un verre à Terence puis, sans prévenir, je me penche et l’embrasse sur la bouche. Sa langue est douce, ses lèvres tendres. Je me redresse lentement. — Cadeau de la maison. Il sourit en coin. Je tends son verre à Marc, me penche ostensiblement de manière à ce que Terence ait vue sur ma croupe, à fleur de robe, et l’embrasse à son tour. S’il a été surpris, il n’en montre rien ; son baiser est puissant et amoureux. Je me relève, prends mon verre et porte un toast, les joues rouges. — À votre santé, Messieurs !— À la tienne, chérie !— Cheers.— Alors, Terence, racontez-nous un peu votre parcours. Vous travaillez dans quel domaine ?— Disons… le cinéma de genre. Je n’écoute pas vraiment la réponse. — Ah oui ? Plutôt acteur ou producteur ? Marc se ressert du vin. — Acteur, mais je pense produire bientôt. Vous pourriez jouer dans l’un de mes films, vous êtes si sexy. Je me vois dans le miroir du salon. Une petite lutine mutine, blonde, et court-vêtue Sexy. Certainement. — Merci. Marc répond quelque chose. — Je crois que ça me plairait, mais il faudra en parler auparavant. Le sang gronde en ...
    ... battement sourds dans mes oreilles. — Et vous vivez seul ?— Avec mon travail, il vaut mieux. Les couples aussi ouverts que vous sont rares. Je bois une nouvelle gorgée de vin doré et me penche pour lui tendre les olives Je ne comprends pas vraiment ce qu’il dit, ça n’a pas d’importance. — Ah ? Il parle sans me quitter des yeux ; son regard ne cesse de se poser sur mes seins, encore et encore. Mes mamelons affleurent sous la dentelle très fine. Je les sens prêts à sortir au moindre souffle… Je respire profondément ; mes petites oranges rondelettes ne demandent qu’à être admirées, caressées, touchées… Je m’approche encore, et m’assieds tout contre lui. Sa main se pose sur ma cuisse dénudée, naturellement. Je fais comme si je ne me rendais compte de rien. —ooOoo— Je suis sur le lit, jambes écartées, à califourchon sur Terence, les deux mains posées sur sa poitrine. Nue, ou presque. Mon chaton épilé est écartelé par son sexe massif, et ses mains caressent agréablement mes seins. Parfois, comme maintenant, je plaque mon clitoris contre son pubis : la sensation est divine. — Penche-toi un peu plus, chérie. Marc est à genoux, derrière moi. Il écarte mes fesses avec gourmandise, mais aussi une certaine douceur. — Encore un peu… J’obéis et me cambre, curieuse et craintive. —ooOoo— La soirée avait été étonnamment agréable. Terence m’avait bien vite mise à l’aise ; il me caressait les jambes, les dénudait, parcourait mes cuisses de ses doigts doux. Les baisers échangés avec les deux ...
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