1. Un cadeau d'anniversaire sexetraordinaire


    Datte: 17/08/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... pourquoi, mais il allait en profiter au maximum et vider le trop plein de ses bourses dans la chatte de cette magnifique salope de blanche. En minaudant, je lui tournait le dos, il se plaqua contre moi, ses mains agrippèrent mes seins, il se mit à me les malaxer avec force, il fit rouler mes tétons entre ses doigts, il y plantait ses ongles sales, les étirait, les pinçait avec force, ce qui me tirait des gémissements d'extase, et activait la petite source qui coulait entre mes cuisses. Je défis l'attache de son pantalon, descendis le zip de sa fermeture éclair, son pantalon chuta sur ses chevilles, il ne portait pas de slip, libérée de toute contrainte, je sentis sa queue se dresser bien plus haut que mon porte-jarretelle. Il frotta le cylindre colossal entre la raie de mes fesses. Je sentais la dureté de son membre massif entre mes globes fermes, le diamètre me semblait énorme. Il passa son phallus sous la fine lanière de mon porte-jarretelles, il respirait avec force. Sans cesser de me triturer la poitrine, il me retourna et me mit face à lui. Il approcha sa tête de ma figure. Putain, l'odeur de son souffle... Mais il était trop tard, j'avais promis à Alfred... Je ne pensais pas prendre du plaisir à faire un truc pareil !! J’espérais qu'il n'était pas malade... mais non ! C'était une force de la nature... allez continue !! Et ma chatte, coulait de plus en plus... Je me prenais au jeu ! « Je veux ta langue noire, dans ma bouche » Il posa ses lèvres sur les miennes, ...
    ... j'ouvris la bouche et docilement j'acceptais l'intrusion de sa grosse langue et je la sentis glisser vers ma gorge. Mmmmuuummmm, je commençais à avoir un drôle de goût dans ma bouche. Il bavait littéralement dans ma cavité buccale, mais en fin de compte, ce goût légèrement acide n'était pas si désagréable que ça ! Je me suis vite décoincé la langue, et je la tournais et retournais dans la bouche de Boba et lui aspirais la sienne profondément dans ma bouche, j'avalais sa salive et sa bave. Putain, je ne pouvais pas croire que j’étais en train de faire une chose aussi peu ragoutante. Je regardais Alfred, d'un sourire et d'un hochement de tête il m'encouragea à aller de l'avant. Lui prodiguant toujours un baiser fougueux, je déboutonnais, puis enlevais sa chemise, je frottais mes mamelons durcis sur ses pectoraux, mes seins bien soutenus par les demis bonnets du soutien gorge, tendus comme des obus semblaient transpercer les fentes de la nuisette. Ses mains pétrissaient mes fesses, écartant les globes laiteux, je sentis son majeur caresser mon orifice anal, et le pénétrer légèrement. Son énorme bite tendue, se frottait entre les lèvres de ma chatte sans la pénétrer. Puis il attrapa le vêtement diaphane et le fit passer par dessus ma tête, il dégrafa mon soutien gorge, lorsque les bretelles passèrent sur mes bras je frissonnais d'extase. Ses grandes mains noires pas très propres enserrèrent mes seins, sa bouche s'empara à tour de rôle de mes tétons, les suça, les aspira, ses dents ...
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