1. Comme chien et chat (3)


    Datte: 18/08/2018, Catégories: Zoophilie,

    Nous passons un long moment à nous toiletter mutuellement. Le tapis semble irrécupérable, couvert de sperme et de poils. De temps à autre, nous échangeons un regard taquin vers l’autre, comme pour se moquer gentiment de tous les dégâts causés. Désormais, étant sorti du feu de l’action, je goûte mieux son sperme encore chaud. Celui-ci a un goût assez prononcé de noisettes. Cela me surprend, mais, au vu de mon manque d’expérience, j’en conclus que je n’y connais rien! Le voir nu et couvert de mon amour m’excite à nouveau, mais mes boules sont vidées et je suis d’ailleurs trop fatigué pour faire quoi que ce soit! Il se dirige vers sa douche pour enlever le sperme et la salive collés à son corps tandis que je m’efforce à préparer un repas. Il est en effet déjà 13h! Étant déjà allé à de nombreuses reprises chez lui, je connais ses placards et je n’ai pas de mal à trouver ce que je cherche. Alors que je cuisine tranquillement, je sens un corps chaud se coller contre moi. Je sursaute d’abord, avant de sentir l’odeur caractéristique de Louka, que les shampoings artificiels ne parviennent pas à masquer. Il m’embrasse amoureusement dans le cou. Je me laisse faire, savourant ses caresses comme si c’était les dernières... Je suis tellement heureux d’avoir tout partagé avec lui: mon corps, mon amour, peut-être bientôt un logement... Mais je m’emballe. Ça ne fait même pas vingt-quatre heures que nous avons découverts nos sentiments. Il semble plus pressant, mais je le repousse doucement ...
    ... pour mieux l’embrasser avant de lui dire: "Pas maintenant, pas déjà! Je suis encore épuisé!"! En effet, tout mon corps réclame du repos. Il me fait un clin d’œil avant de m’embrasser à nouveau pendant de longues minutes. Il se retire enfin: "Tu peux utiliser la douche maintenant Wav’, on mangera après" dit-il en me lançant un sourire appuyé et coquin. Je récupère mes vêtements souillés par notre matinée d’amour et me dirige vers la salle de bain. Je constate au passage que Louka n’est toujours pas habillé, et que son fourreau est plein. Son ventre me paraît vide sans son pénis plaqué dessus... Mais qu’importe. Je me dirige vers la douche et reste longtemps sous le jet brûlant, ronronnant de contentement. Mes poils se décollent et se plaquent contre mon corps. Ma fourrure claire luit et semble renaître. Je sors à regret de la douche et me sèche tranquillement. Je constate que je n’ai plus d’habits mettables en l’état. Je ne suis plus à ça près après tout, et bien que la vue de mon pénis mou et pendant sur ma cuisse n’ai rien de joli ni excitant (j’envie en cet instant les canins, qui n’ont pas ces désagréments), je retourne à la cuisine voir Louka. Il est toujours là, sa longue queue noire et bouffante se balançant lentement au gré de ses pensées. Instantanément, à la vue de son dos large, de sa fourrure soyeuse et de ses fesses rondes et musclées, mon pénis se redresse et ma tête s’emplit d’images érotiques! Malgré tout, ayant déjà tout donné dans la matinée, il me fait mal et ...
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