Un homme à femmes
Datte: 18/08/2018,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
... m’adresse un signe de satisfaction. Il se dit maladroit à discuter autour d’une table et plus à l’aise en action sur un lit. Il range soigneusement les vêtements de la dame, l’enlace lorsqu’elle est en soutien-gorge et culotte,, la fait pivoter sous mon nez et l’embrasse avec passion avant de la plier pour la culbuter. Maud est la réplique exacte de Julie, de taille moyenne, bien en chair, avec des seins et des fesses joliment passés au tour. C’est le même gabarit, avec un visage avenant. Le bassin est large, les jambes musclées mais fines et nerveuses. « Appétissante » est le terme qui s’impose. Le soutien-gorge libère la poitrine. André embrasse les aréoles. Sa bouche bécote les côtes, le nombril, l’estomac, la lisière haute de la culotte. Maud minaude, mais le voile transparent glisse sur le mont de Vénus, s’enroule sur les cuisses, tombe sur les chevilles. Maud lève un pied, l’autre : elle est nue. Alors elle fixe l’homme avec assurance : -Aujourd’hui, mon ami, je sors de chez ma coiffeuse. Je souhaite ne pas m’allonger sur le dos. Assise en bord de lit, elle ouvre ses pieds et ses jambes et elle attire la tête d’André vers son pubis aux boucles noires. L’intention est claire. L’homme à genoux se penche sur l’abricot, ses index ouvrent avec délicatesse le fruit onctueux. Il accorde un compliment, et se met à l’œuvre. Ils sont de profil, la cuisse gauche de Maud me dissimule le travail des lèvres sur la vulve. Un travail très efficace. Mes oreilles l’entendent; le ...
... caméscope en témoignera. - Mon chéri, n’oubliez pas mon clitoris… Oh !... Oh ! C’est divin. Dieu que j’aime. Ne vous retenez pas. Bouffez-moi la chatte…et l’anus, oui, vous avez entendu, le trou du cul; hi, hi ! Dans le plaisir le vernis de la bonne éducation saute, la bouche parle de l’abondance du cœur, elle préfère encore « anus » à « cul » mais y vient. Maud se laisse aller sur les coudes, ramène ses talons sur le matelas, ordonne : - Va plus bas, pousse ta langue dans ma rose… Oui. Un doigt, oui, creuse…mon cul. Continue à me sucer le con. Oh ! Je tremble, je bous, prends-moi. Vite, fort. Le vocabulaire s’est débridé. Faut-il le croire, selon André, en toute femme il y a une touche d’obscénité. La volupté fait chavirer de la distinction calculée à la vulgarité refoulée. La nature prend le dessus, les sens écrasent la raison. Les gémissements remplacent la parole. Sa bouche ronde bée, aspire l’air en saccades. Elle oublie sa coiffure, se laisse tomber en arrière en travers du lit, prend appui sur ses talons pour occuper plus de place sur le lit, s’installe confortablement, préoccupée par la nécessité de se donner sans condition à son jeune maître. Elle le masturbe à peine et exige : - Viens, baise-moi, j’ai faim de toi. Vite sur moi, vite dans mes bras, embrasse-moi, baise-moi. Entre, pousse, fort, au fond. Ah ! Ah ! C’est fait. Elle a salué la pénétration puis se mord les lèvres. Mais de plus en plus fréquemment elle poussera des cris variés, brefs, de joie ou de douleur, ...