1. COLLECTION COCU. L’associé de mon mari, cocu heureux (1/1)


    Datte: 19/08/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    • Mon chéri, pourquoi m’appelles-tu sur mon portable, j’allais t’appeler sur notre fixe dans quinze minutes comme chaque semaine. • J’avais envie de changer nos habitudes, je sais que de te servir de ton gode devant moi t’ai stressé, mais à la longue, je suis moi aussi frustré tous les jeudis après-midi. • Jean, on en a parlé plusieurs fois, ce n’est pas ma faute si la nature nous a fait comme elle nous a fait. Je suis vaginale et non clitoridienne et ta queue ne dépassant pas trois centimètres dans tes meilleurs moments, elle ne peut pas me satisfaire, mon gode le fait merveilleusement, comme tu te masturbes pendant que je te dis ce qu’il me fait, tous les deux nous satisfaisons nos besoins. À part le jeudi au téléphone, chaque fois que tu veux me faire l’amour, je ne me refuse pas, ton sexe ne me fait aucun effet, mais il y a deux ans, elle a réussi à me faire un fils, notre fils. • Tu crois, tu as certainement raison, tu as toujours raison. • Quand il y a un peu plus de deux ans après trois ans de mariage, j’ai enfin trouvé le courage de te dire que ton petit sexe ne me rendait pas heureuse, j’avais deux solutions, prendre un amant ou nous servir d’un gode pour me faire jouir. De ton côté, chaque fois que nous faisons l’amour et que tu fais entrer ton sperme dans mon vagin, je le sens qui coule, mais ma chatte, elle, n’éclatait pas, toi, tu as du plaisir et cela nous a évité le déchirement d’un amant, alors continuons comme cela. • Que faisais-tu en attendant mon appel ...
    ... sur notre fixe ? • Je queutais les haricots verts que nous avons cueillis hier au soir quand tu es rentré. • Tu queutais, tu dois employer le mauvais mot, tu équeutais nos haricots verts. • Je dois te quitter, je vais tomber en pane de batterie, je monte dans la chambre et je te rappelle, j’aurais récupéré mon gode, nous allons nous éclater, toi en te branlant et moi en me remplissant vagin et anus avec mon olisbos. Ce sera encore un après-midi de rêve et dès que tu rentreras, tu me prendras et j’espère que comme pour Louis, nous aurons dans neuf moi une petite Louison pour concrétiser notre couple, je t’aime. J’appuie brusquement sur mise en arrêt de mon portable, n’ai-je pas prévenu que j’allais tomber en panne de batterie. • Jennifer, tu es une vraie salope, quand je suis venue te voir, il y a deux ans pour ce qui allait devenir nos après-midis de baise, je ne pensais pas que tu aurais autant d’imagination pour tromper petite bite. • Alexandre, continue à me brouter la chatte comme tu le faisais quand Jean nous a dérangé, dépêche-toi, j’allais éclater, tu me travailles si bien le clito, que tu m’as fait découvrir. Après, tu feras office de gode dans notre chambre, je te veux toute à moi quelques minutes. Oui, défonce-moi. Tout a commencé entre Jennifer et moi, il y a deux ans, je suis l’associé de Jean depuis le lendemain de notre diplôme qui nous a permis de démarrer notre boîte de petites mécaniques, il y a dix ans. Il y a cinq ans, il a rencontré Jennifer qu’il a épousée ...
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