1. Exhibition soft en voiture et lieu insolite


    Datte: 19/08/2018, Catégories: f, voiture, collection, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, photofilm, Masturbation

    ... moi aussi du spectacle, j’approche doucement ma main de sa robe, et avec délicatesse, comme de peur de casser un cristal fragile, j’écarte le tissu. Doucement, tout doucement, mais de plus en plus, de plus en plus haut. Une cuisse apparaît, se dénude avec grâce, pour devenir indécente et provocante. Le tissu continue son chemin libérateur, laissant entrevoir, puis découvrir une fesse douce et nue. La robe s’estompe, le pan glisse doucement sur l’autre versant de ce magnifique cul qui ne demande qu’à se faire mater, pour finalement se retrouver à la vue de ces deux voyeurs ô combien attentifs et admiratifs ! Je remonte le tissu bien largement au-dessus de la chute des reins. Léa a maintenant le cul entièrement nu à la vue de ces deux hommes voyeurs-violeurs-mateurs et complices. Quelle vision que ces deux cuisses superbes, auréolées de ces deux fesses somptueuses, à poil et offertes ! Ne restant pas inactif, je lui caresse ces deux joues féeriques, pour finalement m’appesantir sur cette séparation et descendre doucement vers son trésor humide. Léa, non seulement consentante mais surtout exigeant cet outrage, écarte doucement les jambes, plie les genoux, et nous exhibe le mieux qu’elle peut sa chatte luisante, à nos yeux violeurs et surtout à mes doigts inquisiteurs. Un coup d’œil "sécuritaire" m’informe de la venue de l’employé. — Il faut penser à rentrer, Léa. Léa se redresse, la robe reprend spontanément une décence académique, mais pas franchement la couleur de ses joues. ...
    ... Un « merci… » ponctue le mouvement de départ de notre complice. L’employé nous lance un regard interrogatif perplexe. Quelques instants plus tard, Léa, toute rêveuse, les yeux hagards, mais visiblement ravie et surtout radieuse, se laisse conduire hors de ce lieu de débauche. Dans vingt minutes, nous serons à la maison, et là, il ne sera plus temps d’être "virtuel", mais charnel, sexuel, sensuel et surtout "animal". Pour parfaire ces sensations et continuer à faire "monter" le désir, j’incline son dossier en arrière, et en lui caressant la jambe, lui soulève doucement la cuisse gauche, pour finalement lui faire poser le pied sur le tableau de bord. La robe s’écarte, la découvrant jusqu’à l’entrecuisse et sa toison. — Tu devrais mettre l’autre pied aussi. Comme dans une sorte de brouillard, Léa s’exécute. Léa se retrouve les jambes et les cuisses nues, la chatte à l’air, et la robe retroussée à souhait. Lui laissant ces quatre derniers boutons tenir un semblant de décence, je lui dénude outrageusement la poitrine, lui exhibant les seins comme à la foire. — Et maintenant, jusqu’à la maison, tu te touches la chatte, tu te branles, tu te tripotes la chatte et les seins. Négligemment, je ralentis. Léa, dans un état second, état que j’adore par dessus tout, se tripote, les yeux presque fermés, la bouche demi-ouverte, la respiration courte, n’attendant plus qu’une seule chose, se faire baiser, se faire mettre, se faire sauter, en un mot, jouir, un sexe bien profond dans la chatte. À ...
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