1. Un mari bien imprudent...ou le chemin de la perversion... (4)


    Datte: 19/08/2018, Catégories: Trash,

    ... lui racontait ses histoires de cul, de partouze. 3 semaines auparavant, Charline lui avait expliqué, elle-même ne connaissant pas ce type de réflexe psychologique, elle était libraire, comment alors qu’elle était en club échangiste avec son homme, elle avait été « offerte » à 6 hommes en même temps, qui l’avaient caressée, palpée, masturbée, pour ensuite lui faire l’amour dans toutes les positions. Charline avait bien décrit son impression d’être en dehors de son corps, de quasiment se regarder, en observatrice neutre. Elle avait elle-même était surprise par l’intensité de ses cris de jouissance, elle avait même utilisé l’expression « beugler comme une bête.» Fanfan avait écouté tout cela avec l’aplomb de la professionnelle de santé, lui avait expliqué les mécanismes avec un air méprisant, devant tant de luxure et de débauche de la part de son amie. Mais le soir, alors qu’elle avait demandé à son bel italien de la combler, elle avait revécu en pensée tout le scénario de Charline. Aujourd’hui cela allait être son tour…elle ne cessait de se tordre les mains et de se mordiller la lèvre inférieure, sa respiration s’accélérait alors que doucement, les 2 agents saisissaient chacun un pan de la robe et la passèrent au-dessus de sa tête. Muriel, en connaisseuse et amatrice de femmes, elle était bisexuelle, siffla d’admiration devant la poitrine plantureuse de Fanfan et ses courbes chaleureuses : « T’es bien foutue voisine ! Dommage que tes sous-vêtements ne soient pas plus ...
    ... affriolants ! Mais bon, on y pourvoira. Messieurs retirez lui ses sous-vêtements et caressez- la ! » Celui de gauche lui dégrafa son soutien-gorge, libérant une splendide poitrine aux tétons déjà durcis, tandis que son collègue lui fit glisser son string sur les jambes, dévoilant un pubis bien taillé avec un « ticket de métro blond … Les deux hommes commencèrent à la caresser partout en prenant bien leur temps…Fanfan commençait à gémir. Elle fermait les yeux, plus rien ne comptait hormis les caresses des hommes sur ses cuisses, ses fesses, ses seins, sa chatte. Elle avait chaud, tellement chaud …elle sentait la cyprine couler dans l’intérieur de ses cuisses. Puis elle sentit une main lui saisir le menton et elle ouvrit les yeux… Muriel le visage à quelques centimètres du sien, la regardait droit dans les yeux et plaqua sa bouche sur la sienne, les langues s’enroulèrent, et Fanfan se retrouva embrassée par une femme pour la première fois de sa vie. Elle y prit vite goût, tant le baiser était sensuel mais aussi agressif, elle avait l’impression que Muriel lui aspirait la langue, qu’elle voulait la manger de l’intérieur. Et puis Muriel quitta sa bouche, sortit sa langue et doucement lui lécha les lèvres ; Fanfan comprit très vite et sortit elle aussi sa langue, les deux femmes jouèrent alors avec… Pendant cette étreinte à la fois douce et parfois violente, Fanfan sentit un objet métallique froid assez gros venir forcer l’entrée de ses cuisses, juste sous sa vulve. Elle les écarta d’emblée ...