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Guilaine
Datte: 19/08/2018, Catégories: Partouze / Groupe
... assez vite apparemment. Grande et mince, elle avait une certaine allure. Des cheveux bruns coupés courts, une poitrine menue et de longues jambes… Pas mon genre mais comme dit l’autre je préfère sauter ça qu’un repas. Notre allure d’escargots nous permit de discuter entre deux premières balises du parcours. J’appris à connaitre Guilaine et à lui trouver de plus en plus de qualités et de charme. Je trouvais qu’elle me regardait avec un œil neuf et il semble que mon charme de néo-cinquantenaire commençait à agir. Quand Anne-Laure souhaita faire une pause pipi, nous restâmes quelques minutes seuls et je prétextais de régler les bretelles de son sac à dos pour tenter une approche. Elle se laissa faire quand je me calais devant elle et que je glissais ma main sur son tee-shirt pour attraper les deux sangles des bandoulières. Elle rejeta sa tête en arrière comme pour s’offrir à moi. Je posais ma main sur son cou et l’approchai de moi pour l’embrasser à pleine bouche. Elle ne se déroba pas, au contraire. Sa main posée sur le bas de mon ventre, elle trouva bien vite ce qu’elle cherchait. Quelques instants suffirent à lui donner une idée de la taille de ma bite. Je m’enhardissais aussi et glissais sous son pantalon des doigts fureteurs. M’immisçant sous la dentelle je trouvais à ma grande surprise un sexe entièrement glabre, brûlant et trempé. - « Hum… » Fis-je intéressé, en plantant mes yeux dans les siens. - « J’aime beaucoup ce que je sens sous les doigts » Me répondit-elle… - « ...
... Continue alors » Lui dis-je pendant que je plongeais plus avant mes investigations. Un doigt, puis deux dans sa chatte humide, je l’attirais vers moi. Recourbés, mon index et mon majeur trouvèrent bien vite le rythme auquel elle s’abandonna. Je sentais sous mes allées et venues son sexe se mouiller de plus en plus et elle finit par me tremper littéralement la main, en jouissant. Elle étouffa un cri dans lequel se mêlaient plaisir et surprise. C’est à cet instant que revint Anne-Laure de sa pause. Elle nous regarda d’une manière assez étrange et nous reprîmes le chemin à travers le bois vers la prochaine étape de notre course. Passablement frustré, je sentis pendant un bon bout de temps ma bite dure comme du bois, me gêner dans ma marche. De temps en temps Guilaine se retournait vers moi, les joues encore rouges de plaisir. Nous finîmes dix-huitièmes. Loin des premiers mais je savais au moins que j’avais gagné le droit de ne pas coucher seul cette nuit. Certains participants choisirent de rentrer avec la navette de l’hôtel pour arriver plus tôt. Je proposais à Guilaine de rentrer comme nous étions arrivés : en vélo. L’air de rien, nous nous laissâmes distancer par le peloton dans lequel Anne-Laure avait pris place. Plusieurs fois je la vis se retourner pour nous observer, Guilaine et moi en train de papoter. Le gros de la troupe disparut dans une courbe. Le premier bosquet suffisamment discret, fit l’affaire. Il me suffit de mettre pied à terre et de lui dire : « viens », pour ...