1. Séduction délicate de la soeur de ma mère (22)


    Datte: 19/08/2018, Catégories: Inceste / Tabou

    Si vous avez manqué le début. Je m’appelle Patrick, fraîchement diplômé je cherche un travail à Bordeaux où réside ma tante Véronique très BCBG, sœur de ma mère Anne. Elle a 43 ans, divorcée, 2 enfants, 1m72 pour 55 kg et moi, 25 ans 1m80 pour 75 kg. Nous entretenons une relation intime depuis un an. Je l’ai mise enceinte courant mai. Nous voici en septembre, elle en est à son cinquième mois de grossesse et j’ai l’opportunité d’avoir un job à Tokyo. Dès la nouvelle de Monsieur Zusu père, à la tête d’un empire de sociétés de haute technologie, ma tante avait bondi de joie. Pas moi. Certes le poste était plus qu’alléchant avec un logement de fonction ainsi qu’un salaire en conséquence. Il avait même proposé un job à mi-temps pour Véro, bref l’Eldorado se dessinait tout seul à ses yeux. Le seul hic résidait dans le fait que je devais faire un stage de trois mois à partir de la mi-septembre. Cela signifiait que durant cette période nous ne nous verrions point et que je rentrerais à la mi-décembre presqu’au moment de son accouchement. J’avais emmené les garçons le samedi matin pour leur séance du judo et de retour, une conversation s’imposa. — Pour moi ça ne me pose pas de problème Patrick, il s’agit d’une place en or et trois mois…c’est vite passé et tu seras là quand j’accouche. Me dit-elle enchantée. — Oui enfin c’est trois mois quand même, maintenant je rentrerais certainement une fois et puis je pourrai me faire une idée de mon job et de la vie là-bas. — Il y a le big ...
    ... problème de tes parents, si je pars à Tokyo que va-t-on leur dire ? En manipulant toujours un objet quand elle était songeuse. — On en est pas encore là, chaque chose en son temps. En déposant un baiser sur son front en me levant. — Dis Patrick, tu peux me mettre de la crème sur le ventre contre les vergetures ? — Quelle question ! Avec plaisir. Lui répondis-je en la prenant par la main. Ma tante une fois dans sa chambre se déshabilla sans aucune gêne devant moi et s’allongea sur le dos avec son ventre rebondi. Assis à ses côtés elle me passa le tube en me souriant. En y regardant de plus près ses seins avaient pris du volume et son intimité non rasée devenait luxuriante. Avec une noisette dans la paume je débutai un lent effleurage de la peau devenue si douce de son ventre. Je me contentai d’étaler cette crème en me hasardant jusqu’à la base de sa poitrine, pour y redescendre à la limite de sa toison. Au fur et à mesure de mes mouvements, de mes passages répétés sur le corps de ma tante je mesurai l’ascendant que j’avais pris sur elle. Elle était dorénavant ma grande femelle qui affichait sa nudité devant moi sans complexe. Chaque jour la rendait encore plus belle à mes yeux. Mon étalage de crème s’apparenta peu à peu à des caresses sensuelles, pour preuve Véronique adopta un souffle plus profond. — Tu as des poils, ça devient une vraie forêt vierge ! En m’essuyant les mains. — Ah bon tu trouves ? Tu veux regarder de plus près te connaissant… Dit-elle en écartant les jambes ...
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