1. Christine II : Retour de flammes (5)


    Datte: 28/07/2017, Catégories: Hétéro

    Je ne pense plus vraiment à Christine. Voilà près de deux mois que son anniversaire a eu lieu et nous n’avons eu aucun contact. Je suis donc très surpris quand le mercredi 15 mars 2000, Christine m’appelle : — Je sais que je ne devrais pas faire ça, mais c’est plus fort que moi. Deux jours plus tard, je passe la chercher en fin d’après-midi à son travail et nous montons en montagne, à l’appartement de ses parents. Nous faisons l’amour à deux reprises dès notre arrivée, très tendrement. Je suis vite contrarié d’avoir accepté, tant il apparait que Christine cherche à me conquérir et obtenir ce quelque chose que je ne suis pas prêt à lui offrir. Je ne dis rien car la rouquine est chaude et j’ai très envie de la baiser encore. Samedi matin, nous faisons l’amour rapidement au réveil et quittons l’appartement. Il fait frais mais beau et nous allons prendre notre petit-déjeuner dans un café du village avant de poursuivre notre balade dans les alentours. Christine connait bien la région et il y a très peu de monde qui se promène à cette époque de l’année. Nous restons dans la vallée car la neige est encore très présente sur les pente des montagnes. Dans l’après-midi, nous prenons le soleil, assis sur un rocher. Un lieu que Christine connait bien, en surplomb du chemin et isolé de celui-ci. Il fait désormais bien meilleur. Christine est assise entre mes jambes et je la pelote allègrement. Dans le creux de l’oreille, je lui rappelle notre après-midi au milieu du champ. Elle gémit. ...
    ... Elle a envie d’y retourner, d’y faire l’amour tout un après-midi. Je lui dis que c’est envisageable. J’enlève son pull, son sous-pull, puis son soutien-gorge. Je caresse, pèse, pelote, malaxe, pince ses seins et ses tétons. Christine cherche à ouvrir la braguette de mon pantalon mais n’y parvient pas. Elle se redresse et se tourne. Tout sourire, elle sort mon sexe et entame une longue et profonde fellation. Je lui indique que je vais jouir, mais Christine poursuit, avalant sans sourciller ma semence pour la première fois. Elle m’embrasse : — En rentrant, tu me rends la pareille. Nous rions et reprenons notre chemin en sens inverse. Pour la pareille, ce ne sera pas directement en rentrant. Certes, nous faisons l’amour, mais je ne lui fais pas de cunnilingus. Par contre, juste avant de sortir, Christine a droit à un très long cunni, dans le canapé, la jupe relevée. Elle jouit cinq fois et je ne lui rends pas son string au terme de ma caresse buccale. Nous allons manger dans un bon restaurant puis Christine m’emmène dans un bar-discothèque typique d’une station de montagne. Il y a du monde en ce samedi soir. Nous buvons deux ou trois verres et, avec le vin bu en mangeant, Christine est vite un peu saoule. Et chaude. Elle danse en se frottant à moi, son décolleté baille sur la piste. Le bar est désormais plein et nous avons heureusement pu conserver une place à une petite table ronde, dans un coin. Nous n’avons par contre plus qu’une seule chaise. Je m’y assieds et prends Christine ...
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