Marie-Cécile de La tournelle, 25 ans, déflorée
Datte: 28/07/2017,
Catégories:
fh,
couple,
amour,
Oral
pénétratio,
prememois,
Après des préliminaires dignes de ce nom, Pierre-Emmanuel et moi savons que notre virginité ne va bientôt plus n’être qu’un souvenir. Nous allons définitivement passer à l’âge adulte. Notre vie va s’en trouver à jamais changée. Nous nous regardons, nous sommes prêts à nous unir. Pierre-Emmanuel, s’allonge sur moi. Nos regards ne se quittent pas. C’est le moment. J’ai hâte. Hâte que sa tige gonflée et dure entre enfin en moi. J’appréhende également, mais je suis prête à la recevoir. La queue de mon époux est en contact pour la première fois avec mon pubis. J’en suis émue. La dureté de son engin contre mon abricot m’électrise le corps. Je suis troublée. Nous profitons un peu de ce moment. Nos regards ne se quittent pas. Un dernier baiser passionné, yeux dans les yeux, nous confirme que le moment est définitivement arrivé. C’est un peu gauchement que mon mari essaie d’entrer son sexe dans le mien. Il y va avec douceur. Mon sexe est grand ouvert, suintant et impatient. L’envie, le désir sont là. Il se glisse en moi. Je sens celle qui m’emmènera sur des sentiers inconnus, j’aime ce contact. Il me pénètre de plus en plus. Quel bonheur ! Nous découvrons ensemble l’amour physique. J’ai un peu mal. Mon excitation est si forte que j’oublie cette douleur, douleur de la perte de ma virginité. Il me possède enfin ! Mon dieu, que c’est bon ! Sa lenteur m’inquiète. Je suis tellement pressée. J’aimerais qu’il aille plus vite mais il est tout à notre découverte et ne bouge pratiquement pas. ...
... Il m’embrasse. Je lui souffle à l’oreille mon souhait d’aller aux portes du paradis. Je n’en peux plus d’attendre. Pierre-Emmanuel s’agite. Il trouve un bon rythme. Mon souffle saccadé joue contre moi. Mon mari m’oublie et ne pense qu’à son plaisir. Il éjacule dans un cri que je ne lui connaissais pas. Je sens un bien-être me parcourir, malheureusement stoppé par son premier orgasme. Je reste sur mon envie pendant que, tout à sa surprenante découverte, il me couvre de baisers pour me remercier. Il ne pense pas un instant qu’il devait aussi me donner du plaisir. Je lui en veux. Mon corps est frustré, mon sexe fébrile. Il se retire, s’allonge à côté de moi. Moi, qui ai les yeux fixés au plafond à me dire : dois-je lui avouer ou pas qu’il a fait l’amour tout seul ? Dois-je lui faire comprendre que nous sommes deux et que nous devons connaître le plaisir tout les deux ? Maintenant que j’ai vu le loup, qu’il est entré dans ma tanière, je veux que celui-ci m’honore correctement. Je me refuse à une vie de frustration où seul son plaisir comptera. Je décide que cette nuit doit être la nuit qui m’ouvre la grande porte des joies du sexe. Je ne veux pas être une sorte de poupée gonflable qui se contente d’écarter les jambes. Je veux goûter, savourer, me délecter des plaisirs de la chair. Je veux partager cette passion dont les prémices me laissent entrevoir de si belles choses. Je prends donc la main de mon époux, la glisse sur mes petites lèvres tout en chuchotant : donne-moi autant de ...