Charlotte l'allumeuse (2)
Datte: 20/08/2018,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Chapitre 2: Mohamed Partie 2 Lui: « Tu sais que tu me fais bander, comme ça dans cette tenue ? » Moi: « Pardon ?! T’es malade ou quoi ?! » Oui, il fallait bien que je fasse au moins semblant de résister, ou au moins de ne pas comprendre. Je reste une femme et je ne vais pas dire oui au premier sourire ! Enfin si, mais c’est toujours assez drôle de voir de quelle manière l’étalon en face de moi va s’y prendre. Lui: « Tu m’as très bien entendu. Tu vas me dire que tu sors comme ça parscequ’il fait chaud ? » Moi: « Oui, il fait chaud, mais tu as raison, j’ai aussi le droit d’avoir envie de plaire. Après, si t’es pas capable de te retenir… » Il marque une seconde d’arrêt. Il se sent un peu con, un peu déstabilisé, ça se voit. En plus de ne pas voir beaucoup de salopes comme moi dans la rue - même si je suis loin d’être la seule - il ne doit pas être habitué à voir une femme qui lui tient tête et lui répond. Mais c’est trop tard, il a vu une ouverture et son cerveau d’homme en chien ne peut plus résister. Il est à moi, à tellement vouloir être en moi. Lui: « Comment tu veux qu’on se retienne quand vous nous résistez et que vous sortez comme ça, habillées comme des putes ? » Moi: « Est-ce que je te résiste ? » Ca y est, il a compris. Avec mon regard provocateur et mon petit sourire en coin, il m’a démasquée en une seule seconde. Il a vu clair dans mon jeu, je ne suis pas sortie à moitié à poil juste pour allumer ou pour tester mes charmes. Il sait tout. Que je suis sortie habillée ...
... le plus court possible pour que les hommes me regardent, viennent vers moi et assouvissent ma soif de queue. Pendant qu’il me regarde dans les yeux et se demande comment transformer l’essai, je le regarde de haut en bas pour savoir à qui j’ai vraiment à faire. Il n’est pas très grand, un mètre soixante-dix comme moi. Il est fin, pas de bide, pas de graisse, mais probablement pas de muscle. La peau mate, les cheveux longs jusqu’aux épaules. Son visage n’est pas très gracieux, il a pas mal de boutons d’acné, ce qui est normal pour son âge: Il doit avoir une vingtaine d’années tout au plus. Il porte une casquette Lacoste noire, un maillot de foot de la Thaïlande et un bas de survêtement noir. Enfin, une paire de baskets noires qui n’apportent rien d’original à sa tenue. Il est banal, voir assez laid, mais je m’en fous. C’est le moyen le plus simple et le plus rapide d’avoir enfin une première queue en moi. Moi: « J’habite à cinq minutes ici à pieds. Je te laisse trente secondes pour aller l’annoncer à tes potes, ensuite on va chez moi ? » Lui: « Tu m’attends là. » Il voulait avoir l’air autoritaire alors qu’il était surpris comme un petit garçon à qui on vient d’offrir un jouet. C’est un peu le cas, sauf qu’aujourd’hui, le jouet, c’est moi. Le temps de faire comprendre à ses potes qu’il va me soulever et on s’en va en direction de mon appartement. Sur le chemin, personne ne parle. Lui, il n’ose pas, de peur de perdre cette chance. Moi, je n’ai pas envie de lui parler. Je me fous ...