1. Fantasmes


    Datte: 20/08/2018, Catégories: grp, extracon, Oral pénétratio, fsodo,

    ... femme ne s’en formalisa pas pour un sou. Elle se retira de moi, me présenta sa croupe totalement trempée et commença à me sucer à nouveau. Elle embouchait ma queue au maximum, pendant que je lui enfonçais deux doigts dans la chatte, titillant son petit trou du bout de la langue. Pendant un instant, je la sentis se raidir. Elle n’était pas adepte de la sodomie et n’aimait pas vraiment que je m’occupe de cet orifice. Mais elle continua sa fellation. Après quelques minutes de ce traitement elle se releva et se coucha sur le lit. Je me plaçaisur elle, lui relevai les jambes et m’enfonçai rapidement en elle. Elle m’embrassa à nouveau. Ses seins gonflés de plaisir se mouvaient au gré des coups de butoir que je lui donnais. Elle se mettait à gémir, signe que le traitement que je lui infligeais lui plaisait. — Tu te rends compte, si c’était Anne que tu sautais ? me dit elle entre deux respirations. Anne était une amie. Magnifique jeune femme, des seins de taille normale, des jambes magnifiques et une splendide chute de reins. Elle était encore célibataire et, il faut bien l’avouer, était très attirante. Le fait de penser à Anne dans le feu de l’action m’excita. Ma femme s’en rendit compte. Je le sus à son sourire. Ma vigueur lui assurait d’avoir raison. — Tu aimerais bien la prendre violemment comme ça ? …. Hein, mon chéri ? Je ne pus répondre que oui tant l’image était séduisante et que ma jouissance venait de me saisir. Je m’allongeai sur le côté. Ma femme entreprit de me ...
    ... sucer afin de ne pas perdre une goutte de ma semence. Puis elle s’allongea près de moi, se blottit et sourit. — Je t’aime, mon amour, plus que tout au monde. Elle ferma les yeux et s’assoupit. J’en profitai pour prendre une douche. Lorsque je revins, ma femme dormait encore. Elle avait les cheveux châtain clair, un cou à la peau douce, des seins épanouis malgré sa fine silhouette. Et une magnifique chute de reins. C’était l’un de ses atouts majeurs. Elle le savait et n’arrêtait pas d’en jouer devant moi pour m’exciter, sachant que j’appréciais particulièrement cela chez une femme. Le lendemain soir, nous avions des invités qui venaient manger à la maison. Anne et son nouveau flirt, et Marc, un collègue et ami d’enfance. Sa femme était partie avec sa sœur voir un film au ciné, il en profitait donc pour sortir de son côté. — Pierre ! Où as-tu mis mes boucles d’oreilles ? me demanda ma femme.— Je n’en sais rien, c’est pas moi qui les porte. Je la vis passer la tête par l’encadrement de la porte. Elle souriait. — Je m’en doute, mais tu aurais pu le savoir.— Ce n’est pas le cas.— Tant pis ! Elle me fit un clin d’œil et s’éclipsa. Le soir approchait et la sonnerie se fit entendre. Comme je n’étais pas encore prêt, Eryn alla ouvrir. C’était Marc. Ce dernier, en bon invité qu’il était, avait apporté deux bouteilles de rouge. — Salut trésor, comment vas-tu ? demanda Marc à ma femme.— Bien, et toi ?— Ça va. J’ai très faim.— Et moi donc. Installe toi tranquillement on n’a pas fini de se ...
«1...345...11»