Fantasmes - Histoires de Sexe

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... intimité, et venait d’y pénétrer d’un doigt averti. Elle s’arrêta de l’embrasser. — Hum, c’est bon. C’est alors qu’Anne apparut devant moi. Elle se dandinait au son de la musique, relevant ses cheveux, me regardant avec désir. Elle se pencha vers moi et me susurra à l’oreille : — Je vais bien m’occuper de toi mon salaud, pendant que ta salope se fait baiser. Elle m’embrassa. D’abord, je ne bougeais pas, mais instinctivement ma langue rencontra la sienne dans un baiser passionné. Sa main prit mes couilles et les malaxa à travers mon pantalon. Du coin de l’œil je regardais ma femme. Marc, mon meilleur ami, caressait le dos d’Eryn. Elle se retourna vers lui et l’embrassa également. Eric, de son côté, lui retira les bretelles de sa robe qui tomba à ses pieds. Ses seins furent mis à nu, Marc les caressa aussitôt pendant que Eric s’abaissait pour embrasser les fesses de ma femme. Il lui arracha son string, ce qui la fit sursauter. Puis, d’un geste, il lui écarta les cuisses pour fourrer sa langue dans sa chatte. — Elle mouille bien, la chienne. Au même moment, Anne finissait d’enlever mon pantalon. Je ne l’avais même pas remarqué tellement j’étais pétrifié, subjugué, excité par le spectacle que ma femme m’offrait. La bouche d’Anne se posa sur mon boxer. — Hum, ça fait longtemps que je rêvais de l’embrasser, celle-la. Elle se releva et ôta sa robe sous mes yeux. Elle était complètement nue dessous. Son sexe entièrement rasé. Elle remarqua que je lui regardais le minou.— Ta chienne ...

... m’a dit que tu aimais les chattes rasées. Ça m’a excité de savoir ça, alors voilà, j’ai tout enlevé. Ma femme avait tout planifié. — Tu aimes ?— Oui, bredouillai-je.— Tant mieux. Elle posa ses genoux sur les accoudoirs et me plaqua la bouche contre son minou. Je regardais ma femme se faire lécher la chatte pendant qu’un autre lui suçait les seins. Elle avait les yeux fermés de plaisir, caressant les cheveux d’Eric qui lui bouffait maintenant complètement le minou. Je voyais ses abdominaux se contracter sous les impulsions de plaisir que les caresses lui prodiguaient. Elle me regarda et sourit. — Oh, c’est bon, Eric, t’arrête pas, dit-elle. Enfonce bien ta langue. C’est alors que je fus doucement secoué par Anne. — C’est de mon minou que tu dois t’occuper, les autres s’occupent du sien, ne t’en fais pas… Je la regardai et pris ses fesses dans mes mains, l’obligeant à venir vers moi. Ma bouche entra en contact avec son sexe lisse et doux. Elle mouillait déjà énormément. Ma langue entra dans sa cavité pour fouiller ses parois. Anne ne mit pas longtemps à gémir. — Oh, c’est bon ! Elle caressa mes cheveux de ses mains, ne me lâchant plus. Son goût était délicieux. Je n’arrivais pas à croire que je faisais un cunni à une amie alors que ma femme était assaillie par deux autres hommes. Après quelques bonnes minutes du traitement que j’infligeais à Anne cette dernière eut des contractions, preuve que ma langue avait réalisé son affaire. Elle se recula et m’embrassa à pleine bouche, sa ...