Punie... (1)
Datte: 20/08/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Je ne passe jamais par l’étape café. C’est ma règle. Je sais ce que je fais. Après quelques mois de discussions, cette rencontre sera probablement un one-shot… Ce sera dur, pas de quartier… Pas de tendresse, pas d’égarements, pas de sentiments. Même pas de coït post-séance ; seulement de la douleur, du protocole et du décorum… Il aime le cacao pur, je lui trouve une jolie boîte de chocolats artisanaux. Peut-être que ça brisera la glace, je ne sais pas moi, comment ça va se passer…? J’ai la trouille… Jamais vu ce type, je sais à peine à quoi il ressemble… Je prépare ma tenue de parfaite soumise protocolaire : un haut noir et transparent en tulle, un soutien-gorge noir, une jupe crayon, un porte jarretelles et des bas. Bec et ongles rouges, coiffure impeccable, pas de culotte. C’est pas moi, cette meuf. Elle a l’air conne. Je stresse, je gère mal mon temps et me perds dans des précautions aussi inutiles que chronophages ; je laisse filer mes bas puis deux trains consécutifs. J’enfile mon énorme plug tant bien que mal. Je me dépêche, je cours, je transpire dans tous les sens... Mon portable sonne, énervé ; je décroche, j’entends sa voix déçue... Je le comprends. Il me conseille de prendre un taxi pour arriver plus tôt mais vu que je suis une petite conne têtue, je décide quand même de prendre les transports en commun. Je trotte dans le dédale des couloirs souterrains de Montparnasse. Je serre les fesses et réajuste sans cesse ma jupe. Et si le plug tombait ? Et si on voyait mes ...
... bas ? Ligne 13. Le métro se tord dans tous les sens en faisant tressauter le strapontin sur lequel je suis assise. Ma punition commence déjà. Je suis là, assise sur mon pauvre strapontin pourtant inoffensif et je me fais vigoureusement enculer au gré des mouvements de la rame. Pas le choix. Je me fais tout un scénario... Est-ce qu’il va être vénère au point de ne pas me laisser rentrer chez lui ? J’ai plus d’une heure de retard, moi qui suis d’habitude ponctuelle… Il me téléphone à nouveau, je me précipite vers la sortie du métro, profitant de la brise d’air frais pour rafraîchir mes joues enflammées. Je cours - encore - vers son immeuble et je suis déjà à bout de souffle. Vis ma vie de fumeuse asthmatique en surcharge pondérale.. Il est adossé à la porte d’entrée et me fait signe d’entrer en me saluant. Un beau mec... Je le suis jusqu’à l’ascenseur. Les portes se referment… Tout sourire, il passe directement sa main sous ma jupe et appuie brusquement sur mon plug bien ancré dans mon cul déjà douloureux... Il me trouve belle et à son goût, salue mes efforts mais déplore mon retard d’une heure. Arrrrgg... Les portes s’ouvrent et il me saisit par la nuque en me poussant vers son appartement. --- Je me retrouve à genoux dans son salon... Effectivement, pas de perte de temps en présentations, straight to the point. L’endroit a été préparé, il y a des bougies chauffe-plat allumées un peu partout sur sa bibliothèque et son piano, une agréable odeur d’encens et du jazz en fond. Je ...