Campus AQP
Datte: 20/08/2018,
Catégories:
fh,
jeunes,
frousses,
intermast,
pénétratio,
amourpass,
... pas grave, je ne déteste pas les cas irrécupérables comme toi !— Eh bien, avec moi, tu vas être servi ! Intérieurement, je pense que oui. Mais je me vois mal faire sans ma Nadia. Elle a pris une place considérable dans ma vie. À la réflexion, elle avait déjà une grande place, mais je ne m’en rendais pas compte. C’est alors que je me souviens d’un aphorisme qui disait que c’est l’amour qui se construit lentement, doucement, sans que parfois qu’on s’en rende compte qui est finalement le plus fort et le plus durable. Je ne sais pas ce que je dois en penser… --ooOoo-- Les dunes au clair de lune, c’est très beau, mais il a bien fallu regagner notre chambre pour dormir, suite à cette journée bien singulière ! Une fois la porte fermée après avoir dit « au revoir » à mes parents, et subi quelques allusions de la part de ma chère maman, nous sommes debout de part de d’autre du grand lit, les bras le long du corps, sans bien savoir quoi faire. En général, je suis nettement plus démonstratif quand j’ai le plaisir d’avoir une femme dans ma chambre ! — On fait quoi, Stéph ?— Il va bien falloir qu’on se couche pour dormir…— Tu as un pyjama ?— Tu crois que j’ai une tête à dormir en pyjama ? Et toi, tu as une nuisette ou un truc comme ça ?— Parce que j’ai une tête à mettre une nuisette pour dormir ? Je désigne de la main une porte juste à côté de la grande armoire vitrée : — Ça se pourrait… Bon, prends la salle de bain, j’attendrai ici.— Tu vas vraiment attendre ici, sans venir me reluquer ...
... ?— Je ne dirais pas non de venir te reluquer, comme tu le dis si bien, mais je reste un gentleman, malgré tout.— « Je ne dirais pas non », c’est bien ça que tu as dit ?— Je ne vais pas te mentir, je reconnais que l’idée me plait bien…— C’est bien d’un mec, ça !— Je te signale que j’en suis un…— Oui, je vois ça ! Je m’assieds sur le lit : — Écoute, mon écureuillette chérie, j’ai dit que je restai là et que je ne bougerai pas. Et je n’ai qu’une seule parole. Quelque chose me dit que j’aurai plus tard largement le temps de pouvoir te contempler à ta toilette.— Comment ça, largement le temps ?— Parce que j’espère bien que notre histoire ne va pas s’arrêter dimanche soir ! Elle rougit fortement, elle est adorable ainsi. — S’il te plaît, Nadia, arrête de rougir comme ça, ou je ne vais plus savoir me retenir !— Pourquoi ça ?— Parce que j’ai une envie folle de te serrer dans mes bras !— Ah bon ?— Oui, c’est comme ça, j’ai une envie folle de te protéger !— Je suis une grande fille, je n’ai pas besoin qu’on me protège !— File dans la salle de bain ! Et n’oublie pas de prendre tes affaires ! Moi, je vais tenter de me changer les idées avec un livre.— Ok, ok ! J’y vais ! Et elle va prestement dans la salle de bain. Je constate qu’elle n’a pas fermé le verrou, je n’ai pas entendu le bruit d’un verrou. Une invitation ? Une marque de confiance ? Oui, j’irais bien jeter un coup d’œil mais… j’ai promis. Et puis, il y a une forte probabilité que je découvre toutes les courbes de son petit corps ...