1. Campus AQP


    Datte: 20/08/2018, Catégories: fh, jeunes, frousses, intermast, pénétratio, amourpass,

    ... elle, de toute ma masse et je pénètre en elle d’un seul jet. Le pieu de chair que j’introduis en elle provoque une réaction bestiale. Elle projette son bassin en avant pour mieux m’absorber, me capturer. Sans plus de préliminaires, dans des halètements bruyants, nos corps coulissent, pistonnent, mon mandrin en elle, sa vulve autour. Elle plante ses ongles dans mes fesses, bien décidée à me faire pénétrer plus loin encore en elle. Je réponds à son invite par un pistonnage plus violent encore. Mes poils vrillent son clitoris dévoilé, mes secousses la rendent folle de convoitise, pour preuve, ses ongles dans ma chair ! Elle est à moi, rien qu’à moi, je l’épuiserai de désir, la laisserai vidée, exsangue de plaisir, et nulle autre ne pourra plus abuser d’elle ! D’un coup, j’éructe, je pousse un cri de victoire, de jouissance profonde. Mon désir flagrant déclenche le sien, comme une réaction en chaîne et ses glapissements se mêlent aux miens tandis qu’elle me broie contre elle, afin que je lui inonde la chatte, que je lui donne tout ! Vidé à mon tour, je s’affaisse momentanément sur elle, pesant de tout mon poids avant de réaliser que je l’écrase. Elle, elle est ailleurs, bien, très bien, la chaleur de son ventre irradie mon corps repu. Dans un grand soupir, je glisse sur le côté, tout en la plaquant contre moi, pour ne pas perdre mon contact et ne sortir pas de sa vulve si accueillante. Nous restons collés l’un à l’autre pendant de longs moments ; je la caresse doucement, à son ...
    ... tour, ses mains frôlent ma peau, épousent mes formes. Je l’embrasse délicatement, tendrement. Puis nous sombrons tous les deux dans un repos réparateur, toujours liés l’un à l’autre, avec la certitude que nous recommencerons souvent, très souvent… --ooOoo-- On sonne à la porte de mon studio. Pourtant, je n’attends personne. Je vais donc ouvrir et je me retrouve nez à nez avec un homme roux ayant ma taille et qui doit avoir la cinquantaine. Je crois le reconnaître, fortement aidé par la couleur de ses cheveux : — Monsieur Fovel, je présume ?— Oui, c’est bien moi, le père de Nadia. Je peux entrer ?— Oui, sans aucun problème, si vous acceptez de fermer les yeux sur l’état des lieux…— J’ai été étudiant avant vous, jeune homme… Il entre dans mon petit studio, je débarrasse la table de tous ses papiers et livres, puis je l’invite à s’asseoir. À peine assis, il me questionne : — Comment avez-vous su qui j’étais ?— Je savais que père et fille se ressemblaient beaucoup, je vous avais déjà vu, mais de loin, lors de la cérémonie des premières années. Mais de près, je ne pensais pas que c’était à ce point !— En effet, je ne peux pas renier ma fille…— Absolument pas. Que me vaut l’honneur de votre visite ? Surtout venant de la part d’un homme aussi surbooké que vous ? Il me dévisage, me scrute, me jauge, avant de répondre : — Vous connaissez très bien la réponse, il me semble…— Nadia ?— Bien sûr. Je voulais voir de plus près celui qui visiblement l’a… apprivoisée.— C’est curieux que vous la ...
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