Campus AQP
Datte: 20/08/2018,
Catégories:
fh,
jeunes,
frousses,
intermast,
pénétratio,
amourpass,
... latitude avec son beau cul et sa chatte avenante. Elle me laisse faire, le regard brillant. Puis je joue de mes doigts à l’orée de sa fente déjà humide, taquinant ses chairs, agaçant un petit capuchon intime, et il ne faut pas longtemps pour qu’elle frémisse de contentement, ses lèvres cajolées, son clitoris flatté. Bouillante d’impatience, elle s’attaque à ma braguette derrière laquelle se dresse mon mandrin dur. En un clin d’œil, celui-ci se dresse fièrement, pointu, effilé. Elle le saisit à pleine main et commence à le branler pendant que je joue toujours avec son clitoris en feu et son sein que dévore toujours avidement. De son autre main, elle dégage mes testicules et en caresse la douce peau, d’en palper les boules fermes et pleines. Je suis dans un état d’excitation intense, infernal : jamais une femme n’avait réussi à ce que j’aie autant envie d’elle, que je veuille la prendre sans partage, que je la possède entièrement, absolument. Mes ex étaient pourtant chaudes, très chaudes, mais ma rousse Nadia est un bûcher ardent et incandescent ! Soudain, elle gémit : — Prends-moi ! Vite !— Oui, je te veux !— Alors prends-moi, perfore-moi, explose en moi ! Tant pis pour les formes, je la veux, elle me veut, un point c’est tout ! C’est avec double soupir de profond soulagement et d’extase que je fonds en elle, sans retenue. Elle en gémit de contentement. Elle est tellement trempée que je glisse sans encombre au fin fond de sa vulve humide et que j’ai l’impression que je ...
... pourrais être deux, voire trois, qu’elle m’accueillerait sans qu’il n’y ait aucune gêne. Excitée à mort, embrochée à la hussarde par mes soins, elle oscille du bassin pour bien sentir plus encore son empalement sur ma bite dure comme du béton. Je la pistonne furieusement, je lui mordille le sein, ma main sur sa fesse, mes doigts dans la raie de son petit cul en sueur, une grosse vague commence à sourdre du fin fond de mes entrailles. Je la sens venir, petit à petit, inflexible, énorme, comme un tsunami qui ravage tout sur son passage. Je serre les dents pour la contenir, pour ne pas jouir trop vite. Ses petits cris s’accélèrent, trop excitants. Déchaîné, je m’approprie son cou et le lobe de son oreille que je couvre des fines morsures possessives et de baisers égoïstes. Sans vergogne, un de mes doigts titille son petit trou légèrement entrouvert, la sensation de cette cuvette interdite et offerte est très jouissive ! N’ayant plus de pudeur ni de retenue, elle me glisse à l’oreille d’une voix rauque : — Vas-y, mon gros lapin, perfore-moi le cul, rentre-le-moi tout entier ! Je ne me fais pas prier ! Je glisse alors mes doigts dans sa fente juteuse avant de lui fourrer en avidement dans le cul. C’est avec une petite joie sadique que je la perfore, tandis qu’elle sent distinctement un intrus lui parcourir le rectum. Elle est à présent comblée des deux trous et c’est au moment où mon doigt percute ma bite à travers la fine paroi interne que la vague déferle sur moi, je jaillis en elle ...