Florence et moi (5)
Datte: 21/08/2018,
Catégories:
Hétéro
... introduisant mon pouce (pas l’index ni le majeur) dans sa petite rondelle, je n’aurais que quatre ou cinq coups de reins à donner pour... « Oh putain, oui !! » Gagné ! Les doigts de Flo s’accrochèrent fermement aux poils de mon torse, ses cuisses se serrèrent autour de mes hanches, elle jouit la tête levée vers le ciel. Comme toujours, elle avait ce besoin de crier son orgasme. Ce n’était pas quelque chose de spontané ou de simulé, ce n’était pas un cri animal, c’était juste sa façon à elle d’exprimer sa satisfaction. Dès qu’elle fut remise de ses émotions, elle se dégagea de mon pal et s’agenouilla devant moi. Son jus avait trempé jusqu’à mes poils pubiens et mes bourses, mais cela ne l’empêcha pas de me prendre en bouche. En un an, ses fellations avaient évolué, étaient devenues plus profondes, plus langoureuses. Elle pouvait accélérer comme une folle, à la bouche et à la main, ou ralentir et se montrer d’une terrible douceur. Elle pouvait lécher, sucer, branler, un par un ou tout à la fois. Mais ce jour-là, la fellation ne fut que de courte durée, car rapidement ma chère Florence posa ses seins de part et d’autre de ma hampe, serra et commença de lents va-et-vient. « T’as intérêt à aimer, c’est pas confortable. » Aimai-je ? A vrai dire, oui. Les mouvements de Flo étaient lents, limités, mais la douceur de cette chair, plus fraîche que sa bouche ou sa grotte, était délicieuse. Je découvrais de nouvelles sensations, trop rapidement interrompues. « Bon, bah laisse tomber, ...
... c’est pas pratique » fit Flo en arrêtant tout. « Désolée, je sais que t’en rêvais, mais ça me tue les épaules. » Je fis la moue, un peu déçu que ça s’arrête si tôt. « Je te suce pour compenser si tu veux ? » proposa-t-elle. « Ou tu préfères qu’on baise ? » « Ou alors, on essaye une autre façon ? » tentai-je. Elle pencha la tête sur la côté, signe de perplexité chez elle. « C’est à dire ? » « Bah j’sais pas, genre si tu t’allonges et je viens sur toi ? » Elle haussa les épaules. « Ça se tente. Mais si ça marche pas, je te finis à la bouche, ok ? » « Ok » approuvai-je. Joignant le geste à la parole, elle s’allongea sur le tapis du salon et je pris place sur son ventre. Une fois de plus, elle serra ses énormes seins autour de ma virilité, mais cette fois-ci je donnai le rythme, qu’elle accompagnait comme le pouvait. Et mon dieu, les mots me manquent pour décrire quel plaisir je pris à cette espagnole pratiquée à même le sol. Il faut bien comprendre que c’était la première fois de ma vie que je m’essayais à cette pratique, et le fourreau de chair que m’offrait Florence était d’une douceur et d’une fermeté incomparable. J’ai depuis essayé avec plusieurs autres filles, mais ce ne fut jamais aussi bon qu’avec ma maîtresse. J’étais tellement excité, tellement obnubilé par cette divine extase, que le temps sembla s’étirer, que mon corps tout entier ne sembla plus se résumer qu’à mon sabre fiché dans la poitrine de Florence. Et la jouissance me saisit. « Dans ma bouche ! » beugla Florence ...