1. Ce soir je suis sa chienne


    Datte: 29/07/2017, Catégories: Partouze / Groupe

    ... donner deux trois fessées, petit prétexte à une partie de jambes en l'air sans imagination, pressés de retrouver leur famille dès leur petite affaire terminée. Je lui montre mes deux mains ouvertes pour lui signifier ‘vas-y elle est à toi !' Léa ne semble pas avoir entendu la demande du nouveau venu. Une nouvelle claque vient rougir sa seconde fesse. - Je t'ai dit de te cambrer ! Et paf une troisième. Et je t'ai dit de te caresser. Léa a parfaitement compris à qui elle avait affaire. Elle s'arque au maximum, tendant son cul d'une manière obscène. Puis elle glisse une main entre ses jambes, perdant un de ses points d'appui, s'enfonçant encore plus ma queue au fond de sa gorge. Je ressens son grognement lorsqu'une nouvelle fessée vient équilibrer la rougeur des deux fesses. Le salaud, il y va franchement, ou alors il a l'art de faire claquer. - Regarde moi ce cul de guenon en chaleur… Vu sa couleur, il ressemble plus à un cul de babouin maintenant. Léa lève les yeux, la bouche toujours bâillonnée par ma bite, la main toujours ostensiblement active dans sa chatte. Je connais ce regard implorant, qui me supplie de la laisser prendre son plaisir… C'est rare qu'elle soit aussi excitée pendant une fessée, je sais que ce n'est pas vraiment sa tasse de thé, mais là elle semble complètement subjuguée par la puissance de ce type. Peut-être que le fait de se sentir aux mains de deux vrais dominants, lui fait réaliser un fantasme qu'elle pensait ne pouvoir jamais atteindre. - Non, ma ...
    ... petite pute… tu ne jouis pas pour le moment. Les fessées continuent à pleuvoir… - Et dix ! Ça suffit pour le moment ! Mmmmm Ton cul est bouillant ! Viens mon pote ! À toi ! Je te laisse sa chatte. Et notre ami s'écarte pour laisser la place au dernier participant. Celui-ci ne se fait pas prier et investit d'un seul trait la moule dégoulinante qui s'offre à lui. Léa laisse échapper un grognement sourd, je la sens trembler des pieds à la tête, impatiente qu'elle était de recevoir quelque chose dans son ventre. L'homme n'y va pas par quatre chemins et après avoir empoigné les hanches de ma soumise, il la baise avec force, la pilonnant comme si sa vie en dépendait. - Vas y ma belle ! Jouis ! Éclate-toi ça ne fait que commencer pour toi ! Léa n'attendait que ces mots pour se laisser aller. Je me dégage de sa bouche afin qu'elle puisse exprimer sa jouissance. - Oh…. Ouiiii ! Encore vas-y plus fort ! Ne t'arrête pas , vas-y ! oh ouiii J'adore voir, entendre Léa jouir. Mais là nous sommes en extérieur et je ne voudrais pas ameuter tout le voisinage. Je tire sur ses cheveux, glisse ma queue contre ses lèvres et m'enfourne à nouveau au fond de sa gorge. Ces derniers cris meurent sur ma queue et la font vibrer. Le baiseur après un ultime assaut, se retire, et le temps qu'il ôte sa capote, le fesseur attrape Léa et la retourne : - Prends sa queue et viens recueillir la marque de ta débauche, à genoux, visage bien tendu. Léa a à peine le temps d'empoigner le sexe gonflé de plaisir qu'une ...
«12...101112...15»